Les répliques de l’opération coup de poing dans les boîtes de nuit de Saint-Denis n’ont pas fini de modifier le paysage nocturne du Nord. Une fermeture administrative du Loft est fort probable et la menace plane sur le Mahé et sur le Prince.
Comme attendu, les gérants des discothèques, contrôlées dans la nuit de samedi à dimanche sur le chef-lieu, sont venus s’expliquer face aux policiers lundi.
Après les inspecteurs de la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt dans les cuisines du Loft le gérant peut être inquiet. Ces spécialistes de la sécurité sanitaire ont relevé plus de 30 infractions pour un total de contraventions de 45 000 Euros.
Devant la gravité de la situation, ils ont prononcé la fermeture administrative immédiate du restaurant de l’établissement. Pour les agents de la Daaf, la sécurité sanitaire des clients n’était pas assurée.
Des règles administratives exigeantes
Le second gérant pris dans les filets de cette vaste opération s’occupe du Mahé. Là, les inspecteurs ont saisi plus de 100 kilos de victuailles. Cette nourriture, saine, était dépourvue des étiquettes permettant d’authentifier sa provenance. Le patron des lieux s’est présenté au commissariat à la première heure les bras chargés d’une multitude de documents destinés à prouver sa bonne foi.
Reste aux policiers de Malartic à trouver les papiers officiels qui éviteront à ce nouveau venu dans le monde des nuits dionysiennes une fermeture administrative temporaire qui pourrait s’avérer définitive.
Le bon élève est…
Le gérant du Prince est, lui aussi, venu avec de nombreux documents. Au moment du contrôle, il lui manquait de nombreuses autorisations obligatoires pour travailler la nuit.
Le public, l’alcool, la musique, contraignent les gérants à se conformer à des règles de sécurité très strictes. Ces normes doivent être validées par des spécialistes qui en attestent via des certificats officiels. La fermeture du Prince est possible. Le gérant doit prouver qu’il est en conformité.
Les bains de minuits est le bon élève des noctambules. Le gérant était en règle de A à Z…
Après les inspecteurs de la direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt dans les cuisines du Loft le gérant peut être inquiet. Ces spécialistes de la sécurité sanitaire ont relevé plus de 30 infractions pour un total de contraventions de 45 000 Euros.
Devant la gravité de la situation, ils ont prononcé la fermeture administrative immédiate du restaurant de l’établissement. Pour les agents de la Daaf, la sécurité sanitaire des clients n’était pas assurée.
Des règles administratives exigeantes
Le second gérant pris dans les filets de cette vaste opération s’occupe du Mahé. Là, les inspecteurs ont saisi plus de 100 kilos de victuailles. Cette nourriture, saine, était dépourvue des étiquettes permettant d’authentifier sa provenance. Le patron des lieux s’est présenté au commissariat à la première heure les bras chargés d’une multitude de documents destinés à prouver sa bonne foi.
Reste aux policiers de Malartic à trouver les papiers officiels qui éviteront à ce nouveau venu dans le monde des nuits dionysiennes une fermeture administrative temporaire qui pourrait s’avérer définitive.
Le bon élève est…
Le gérant du Prince est, lui aussi, venu avec de nombreux documents. Au moment du contrôle, il lui manquait de nombreuses autorisations obligatoires pour travailler la nuit.
Le public, l’alcool, la musique, contraignent les gérants à se conformer à des règles de sécurité très strictes. Ces normes doivent être validées par des spécialistes qui en attestent via des certificats officiels. La fermeture du Prince est possible. Le gérant doit prouver qu’il est en conformité.
Les bains de minuits est le bon élève des noctambules. Le gérant était en règle de A à Z…