Les deux premières journées de la nouvelle session d'assises sont consacrées à un meurtre sur fond d’alcool. C’était à Saint-Pierre en 2013.
La première affaire de cette nouvelle session sera évoquée en début d’après-midi. Elle pourrait être banale. Une arme blanche, un accusé oisif et alcoolique qui reconnaît les faits en garde à vue et devant le juge. Tout semble simple, mais il affirme qu’il a tué sa demi-sœur car elle l’humiliait et lui a volé son nom de famille.
Le 3 Juin 2013 quand José Humbert frappe Léonie à six reprises avec un couteau de cuisine. Il veut se venger des réflexions de la veille et de l’usurpation d’identité qui a permis à sa demi-sœur de lui voler son héritage. Il affirme que la victime lui a volé son nom pour faire main basse sur ses biens.
Les experts devraient éclaircir ce point important du dossier qui n’excuse pas le passage à l’acte. Restent les témoignages. Tous décrivent deux trajectoires très différentes.
La victime était une femme très douce. Originaire de Madagascar, elle était impliquée dans plusieurs associations caritatives. Mère célibataire, elle hébergeait son meurtrier à qui elle offrait le couvert, malgré ses sautes d’humeur et son intempérance. L’accusé, lui, n’a jamais regretté son geste…
Le 3 Juin 2013 quand José Humbert frappe Léonie à six reprises avec un couteau de cuisine. Il veut se venger des réflexions de la veille et de l’usurpation d’identité qui a permis à sa demi-sœur de lui voler son héritage. Il affirme que la victime lui a volé son nom pour faire main basse sur ses biens.
Les experts devraient éclaircir ce point important du dossier qui n’excuse pas le passage à l’acte. Restent les témoignages. Tous décrivent deux trajectoires très différentes.
La victime était une femme très douce. Originaire de Madagascar, elle était impliquée dans plusieurs associations caritatives. Mère célibataire, elle hébergeait son meurtrier à qui elle offrait le couvert, malgré ses sautes d’humeur et son intempérance. L’accusé, lui, n’a jamais regretté son geste…