L’alcool est l’une des premières causes d’hospitalisation en France et à La Réunion. L’île apparaît au troisième rang des régions françaises les plus sérieusement touchées par ce fléau.
Le coût annuel de la surconsommation d’alcool en France vient d’être estimé à 17,6 milliards d’Euros par an. Dans son bulletin hebdomadaire, l’institut de veille sanitaire, rappelle que l’alcool est responsable de 49 000 morts par an au plan national. Cette consommation excessive est à la base de 12 à 23% des hospitalisations dans les hôpitaux généraux et représente, selon les régions, de 25 à 50% des admissions dans les services de psychiatries.
L’alcool détruit le consommateur et son entourage
Ce bulletin édité par les services de santé tient compte des prises en charge par les urgences, des frais d’hospitalisation et des coûts liés aux tentatives de sevrage. Les rédacteurs n’oublient aucun des aspects liés à « l’alcool ». Psychiatrique, psychologique pour les consommateurs et l’entourage.
Cette conduite addictive a des conséquences pour le malade (santé, travail, accident seul ou impliquant une tierce personne), mais également pour son entourage (femme, enfants).
Le « binge drinjking » ou l’alcoolisme des jeunes
« Le phénomène ne cesse de s’accentuer et le public concerné est de plus en plus jeune. En six ans, le nombre d’hospitalisation pour intoxication aiguë a augmenté de plus d’un tiers », révèle les auteurs du rapport.
En cause, le développement en France chez les jeunes du « binge drinking » (Ndlr : biture express). Ce phénomène importé d’Irlande touche le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la France et aujourd’hui La Réunion.
Cette mode fait des ravages chez les jeunes qui sont de plus en plus nombreux à être hospitalisés pour traitement de la dépendance alcoolique.
La Réunion victime de l’alcool
Le public concerné par une alcoolisation excessive est, en moyenne, âgé de 45 ans. Au fil des années, l’âge du public concerné a tendance à chuter. Par ailleurs, les séjours sont de plus en plus longs et les réhospitalisations fréquentes.
Comme le montre la carte des régions de France, La Réunion est l’une des plus touchées par ce phénomène. Elle est malheureusement sur le podium avec la Picardie et la région Nord.
En conclusion les rédacteurs s’alarment : « Le coût de ces séjours est d’un poids considérable dans les dépenses hospitalières, mais il faut reconnaître que ce problème n’est pas pris en compte en France à la hauteur des enjeux de santé publique ».
L’alcool détruit le consommateur et son entourage
Ce bulletin édité par les services de santé tient compte des prises en charge par les urgences, des frais d’hospitalisation et des coûts liés aux tentatives de sevrage. Les rédacteurs n’oublient aucun des aspects liés à « l’alcool ». Psychiatrique, psychologique pour les consommateurs et l’entourage.
Cette conduite addictive a des conséquences pour le malade (santé, travail, accident seul ou impliquant une tierce personne), mais également pour son entourage (femme, enfants).
Le « binge drinjking » ou l’alcoolisme des jeunes
« Le phénomène ne cesse de s’accentuer et le public concerné est de plus en plus jeune. En six ans, le nombre d’hospitalisation pour intoxication aiguë a augmenté de plus d’un tiers », révèle les auteurs du rapport.
En cause, le développement en France chez les jeunes du « binge drinking » (Ndlr : biture express). Ce phénomène importé d’Irlande touche le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la France et aujourd’hui La Réunion.
Cette mode fait des ravages chez les jeunes qui sont de plus en plus nombreux à être hospitalisés pour traitement de la dépendance alcoolique.
La Réunion victime de l’alcool
Le public concerné par une alcoolisation excessive est, en moyenne, âgé de 45 ans. Au fil des années, l’âge du public concerné a tendance à chuter. Par ailleurs, les séjours sont de plus en plus longs et les réhospitalisations fréquentes.
Comme le montre la carte des régions de France, La Réunion est l’une des plus touchées par ce phénomène. Elle est malheureusement sur le podium avec la Picardie et la région Nord.
En conclusion les rédacteurs s’alarment : « Le coût de ces séjours est d’un poids considérable dans les dépenses hospitalières, mais il faut reconnaître que ce problème n’est pas pris en compte en France à la hauteur des enjeux de santé publique ».
Article - Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire by Réunion 1ère Web