Une grève des transporteurs paralyse la production et la livraison de béton sur les différents chantiers de l'île
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Les chantiers sont en manque de béton. Depuis lundi 17 août, les centrales à béton sont en effet paralysées par un mouvement de grève des transporteurs. Résultat : plus rien ne sort des installations des sociétés Holcim et Lafarge. Faute de béton, les salariés de certains chantiers pourraient se retrouver au chômage technique. C'est en tout cas l'inquiétude exprimée mardi soir par les représentants syndicaux du BTP reçus en préfecture. Près de 80% des chantiers de l'île dépendent des livraisons des deux cimentiers.
La FNTR (Fédération nationale des transporteurs routiers) et la FTOI (Fédération des transports de l'Océan indien) exigent la signature la signature d'un protocole sur l'application d'un minimum garanti avant de libérer les centrales à béton.
Jean-Bernard Caroupaye, président de la FNTR, estime que la société Holcim est responsable de ce blocage
La FNTR (Fédération nationale des transporteurs routiers) et la FTOI (Fédération des transports de l'Océan indien) exigent la signature la signature d'un protocole sur l'application d'un minimum garanti avant de libérer les centrales à béton.
Jean-Bernard Caroupaye, président de la FNTR, estime que la société Holcim est responsable de ce blocage