Tous les ans, au mois d’octobre, l’air de Domenjod devient irrespirable. Les riverains se plaignent du mélange d’odeur de fumier et de produits chimiques émanant des parcelles cultivées.
« C’est horrible ! J’en ai des nausées ! », Virginie n’en peut plus. Depuis 2009, cette mère de famille appréhende le mois d’Octobre et les épandages sur les cultures de cet écart de Saint-Denis. Quand, le vent vient de l’Est (Il souffle régulièrement dans ce sens à cette période de l’année) l’odeur se répand. Impossible d’échapper à ce mélange de fumier et de produits chimiques. Au fil du temps et des heures, l’odeur s’estompe mais tous les ans les voisins des champs souffrent pendant plusieurs heures ou quittent leurs domiciles en espérant que l’air se soit assaini quand ils rentrent chez-eux.
Le problème pour les habitants du secteur, cette gêne est récurrente. Il n’y a pas qu’un champ, ni un seul agriculteur dans cet écart vert du chef-lieu.
Difficile de trouver une solution. En attendant des épandages moins odorants les uns comme les autres sont contraints de cohabiter.
Le problème pour les habitants du secteur, cette gêne est récurrente. Il n’y a pas qu’un champ, ni un seul agriculteur dans cet écart vert du chef-lieu.
Difficile de trouver une solution. En attendant des épandages moins odorants les uns comme les autres sont contraints de cohabiter.