La chef d’entreprise saint-gilloise impliquée dans l’accident grave, samedi à Grand-Fond, circulait avec 2,38 g d’alcool par litre de sang. Déjà impliquée dans un accident, sous l’empire d’un état alcoolique en 2014, elle a été incarcérée.
La conductrice du 4x4, à l’origine de l’accident grave qui s’est produit ce samedi 20 Août 2016 à Saint-Gilles-les-Bains, a été mise en examen pour coups et blessures involontaire avec arme (Ndlr : la voiture est une arme par destination). Elle conduisait avec 2,38 g d’alcool par litre de sang. Une conduite sous l’empire d’un état alcoolique qui est considérée comme une circonstance aggravante.
Les voitures réduites à l’état d’épaves
En perdant le contrôle de son 4x4 au niveau de Grand-Fond, la chef d’entreprise, âgée de 45 ans, est venue percuter une Renault Mégane qui circulait en sens inverse. Dans le choc, la famille a été blessée. Les deux enfants qui se trouvaient à l’arrière de la berline ont été évacués dans un état grave.
L’état des enfants stabilisé
La Saint-Gilloise, déjà impliquée dans accident de la circulation en 2014 sur fond d’alcool, est considérée en état de récidive, d’où la décision du juge des libertés de la placer en détention provisoire.
Lundi en fin de journée, l’état des deux enfants, toujours hospitalisés dans un état grave, était stabilisé. Le pronostic vital des petites victimes n’était plus engagé selon les équipes soignantes.
Les voitures réduites à l’état d’épaves
En perdant le contrôle de son 4x4 au niveau de Grand-Fond, la chef d’entreprise, âgée de 45 ans, est venue percuter une Renault Mégane qui circulait en sens inverse. Dans le choc, la famille a été blessée. Les deux enfants qui se trouvaient à l’arrière de la berline ont été évacués dans un état grave.
L’état des enfants stabilisé
La Saint-Gilloise, déjà impliquée dans accident de la circulation en 2014 sur fond d’alcool, est considérée en état de récidive, d’où la décision du juge des libertés de la placer en détention provisoire.
Lundi en fin de journée, l’état des deux enfants, toujours hospitalisés dans un état grave, était stabilisé. Le pronostic vital des petites victimes n’était plus engagé selon les équipes soignantes.