Les 12 candidates au titre de miss Maurice 2018 ont été présentées, ce jeudi 30 août, l'élection aura lieu le 13 octobre prochain. 10 candidatures à la présidentielle à Madagascar, rejetées. Saïd Larifou, avocat sanctionné à La Réunion, rebondit aux Comores, entre droit et politique.
L'élection de miss Maurice 2018 se déroulera le 13 octobre 2018 au sein de l'hôtel Hennessy-Park-Ebène. Ce jeudi 30 août 2018, les visages, des douze prétendantes, ont été révélés à la presse de l'île sœur relate defimedia.info. Un moment important qui lance officiellement la course à l'écharpe. L'enjeu est important, miss Maurice est assurée de participer aux élections internationales, contrairement à miss Réunion qui représente le département lors de l'élection de miss France.
Madagascar : 10 candidatures à la présidentielle rejetées
Parmi les exclus à la course à la présidence de la République de Madagascar, pas de leader. Les 10 candidatures éliminées par la Haute cour constitutionnelle (HCC) ont un point commun, ils n'auraient pas transmis un dossier complet. Les candidats en question ne pouvaient pas présenter la quittance qui certifie le versement de la caution de 50 millions d'ariary (soit un peu plus de 13 000 euros) permettant d'enregistrer leur dossier.
Les 10 candidats affirment qu'ils ont payé et vont déposer un recours. Aboutira-t-il ? Rien n'est moins sûr. La décision de la HCC ne peut être, officiellement, contestée nous apprend lexpressmada.com.
Comores : Saïd Larifou, ex-avocat controversé à La Réunion, candidat à la présidence ?
Saïd Larifou, avocat qui officiait au barreau de Saint-Pierre, a quitté le département précipitamment en 2015 pour s'installer aux Comores. Dans son pays d'origine, l'ex-membre du barreau de Saint-Pierre, a ressurgi à la tête du parti Ridja. Dans un article de Masiwa Komor, l'homme politique qui a ouvertement soutenu le référendum, voulu par le président Azali Assoumani, ne fait pas parti du remaniement gouvernemental appelé Azali3. L'avocat qui exerce désormais ses talents dans l'archipel a laissé une ardoise de 250 000 euros dans la Caisse nationale du barreau.
Candidat à la présidentielle de 2019 ?
C'est d'ailleurs, elle qui a porté plainte contre Saïd Larifou qui a été reconnu coupable en première instance et condamné. Il était devant la cour d'appel de Saint-Denis en mars 2018 où le parquet a demandé la confirmation des sanctions prononcées en première instance. Sanction qui lui interdit d'exercer en France et de se prévaloir de son titre d'avocat. Cette tâche judiciaire n'empêche pas l'ex-avocat Saint-Pierrois de s'afficher comme candidat potentiel à la présidence des Comores.
Madagascar : 10 candidatures à la présidentielle rejetées
Parmi les exclus à la course à la présidence de la République de Madagascar, pas de leader. Les 10 candidatures éliminées par la Haute cour constitutionnelle (HCC) ont un point commun, ils n'auraient pas transmis un dossier complet. Les candidats en question ne pouvaient pas présenter la quittance qui certifie le versement de la caution de 50 millions d'ariary (soit un peu plus de 13 000 euros) permettant d'enregistrer leur dossier.
Les 10 candidats affirment qu'ils ont payé et vont déposer un recours. Aboutira-t-il ? Rien n'est moins sûr. La décision de la HCC ne peut être, officiellement, contestée nous apprend lexpressmada.com.
Comores : Saïd Larifou, ex-avocat controversé à La Réunion, candidat à la présidence ?
Saïd Larifou, avocat qui officiait au barreau de Saint-Pierre, a quitté le département précipitamment en 2015 pour s'installer aux Comores. Dans son pays d'origine, l'ex-membre du barreau de Saint-Pierre, a ressurgi à la tête du parti Ridja. Dans un article de Masiwa Komor, l'homme politique qui a ouvertement soutenu le référendum, voulu par le président Azali Assoumani, ne fait pas parti du remaniement gouvernemental appelé Azali3. L'avocat qui exerce désormais ses talents dans l'archipel a laissé une ardoise de 250 000 euros dans la Caisse nationale du barreau.
Candidat à la présidentielle de 2019 ?
C'est d'ailleurs, elle qui a porté plainte contre Saïd Larifou qui a été reconnu coupable en première instance et condamné. Il était devant la cour d'appel de Saint-Denis en mars 2018 où le parquet a demandé la confirmation des sanctions prononcées en première instance. Sanction qui lui interdit d'exercer en France et de se prévaloir de son titre d'avocat. Cette tâche judiciaire n'empêche pas l'ex-avocat Saint-Pierrois de s'afficher comme candidat potentiel à la présidence des Comores.