Fabrice Kichenin et Gwendoline Thomas voient leurs peines allégées lors du procès en appel pour l’assassinat de Wilson Sadzoute. Ce n’est, en revanche, pas le cas pour Nathalie Mouny.
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Les avocats de la défense sont parvenus à faire diminuer les peines de deux des co-accusés. Ainsi Fabrice Kichenin, considéré comme le commanditaire, a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle, contre 30 ans en première instance.
Gwendoline Thomas, d’abord condamnée à 12 ans d’emprisonnement, voit sa peine réduite à 6 ans de réclusion criminelle. Décrite par son avocat comme étant une suiveuse, sa complicité semble avoir été minimisée. Un mandat de dépôt a été émis à l’audience à son encontre, puisqu’elle comparaissait libre.
La troisième co-accusée, Nathalie Mouny, n’aura en revanche pas bénéficié de la clémence des jurés. Malgré le doute qu’a tenté d’instiller son avocat, demandant la relaxe de sa cliente, sa peine est finalement plus sévère qu’en première instance. Elle est ainsi condamnée à 2 ans d’emprisonnement pour transport d’arme.
Gwendoline Thomas, d’abord condamnée à 12 ans d’emprisonnement, voit sa peine réduite à 6 ans de réclusion criminelle. Décrite par son avocat comme étant une suiveuse, sa complicité semble avoir été minimisée. Un mandat de dépôt a été émis à l’audience à son encontre, puisqu’elle comparaissait libre.
La troisième co-accusée, Nathalie Mouny, n’aura en revanche pas bénéficié de la clémence des jurés. Malgré le doute qu’a tenté d’instiller son avocat, demandant la relaxe de sa cliente, sa peine est finalement plus sévère qu’en première instance. Elle est ainsi condamnée à 2 ans d’emprisonnement pour transport d’arme.