L’alerte orange est toujours en cours dans l’île depuis ce jeudi 22h. Ce matin, les plaisanciers et professionnels de la mer du Port de Sainte-Marie s’attelaient à la sécurisation de leurs embarcations.
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Même si le temps est relativement calme sur le Nord de l’île ce vendredi matin, les plaisanciers et professionnels de la mer du Port de Sainte-Marie suivent à la lettre les recommandations quant à la sécurisation de leurs embarcations. Il faut savoir que les bateaux, à quai pour le nettoyage des hélices et des coques, ne sont pas pris en charge par les assurances en cas de dégradations lors d’une alerte cyclonique nous indique l’un des plaisanciers croisé ce vendredi matin par les équipes de Réunion La 1ère, sauf si c’est un professionnel qui s’occupe du nettoyage à quai. Autrement, c’est le propriétaire de l’embarcation qui en aura pour ses frais.
Une entraide s’est donc mise en place entre les professionnels et les plaisanciers présents pour remettre les bateaux à l’eau, même si l’inquiétude n’était pas palpable. En effet, les hommes de la mer se fient aux bulletins météorologiques qui semblent indiquer que le Port de Sainte-Marie devrait être plus ou moins épargné, contrairement aux ports de St-Gilles ou St Pierre. Un train de houle, avec des hauteurs de vague entre 5 et 6 mètres, est toutefois attendu du Port à Champ Borne en cours d’après-midi.
Mieux vaut donc prévenir que guérir comme nous le montre ce reportage de Michelle Bertil et Jean-Claude Toihir :
Une entraide s’est donc mise en place entre les professionnels et les plaisanciers présents pour remettre les bateaux à l’eau, même si l’inquiétude n’était pas palpable. En effet, les hommes de la mer se fient aux bulletins météorologiques qui semblent indiquer que le Port de Sainte-Marie devrait être plus ou moins épargné, contrairement aux ports de St-Gilles ou St Pierre. Un train de houle, avec des hauteurs de vague entre 5 et 6 mètres, est toutefois attendu du Port à Champ Borne en cours d’après-midi.
Mieux vaut donc prévenir que guérir comme nous le montre ce reportage de Michelle Bertil et Jean-Claude Toihir :