Didier Nauche vient d'être condamné à 25 ans de réclusion criminelle! Le 21 janvier 2016 dans l'après-midi, il avait égorgé sa femme sur le parking de Jumbo à Sainte-Marie. Un crime prémédité !
Didier Nauche, 44 ans, a été reconnu coupable de l'assassinat de sa femme, Géraldine Nauche, 38 ans et condamné à 25 ans de réclusion criminelle. Une information de Nathalie Rougeau de Réunion la 1ère.
C'était en janvier 2016 à Sainte-Marie. Un crime qui avait défrayé la chronique et marqué les esprits. Deux ans après les faits, l'homme présente toujours un profil très inquiétant. Lors de ces deux journées devant les assises de La Réunion, il a tenté de minimiser son geste. Pourtant, Il reconnaît avoir attendu son épouse à la sortie du supermarché, de l'avoir délibérément renversé et de l'avoir frappé à vint-et-une reprises au niveau du coup en criant : "Mi sa tue aou".
Un profil psychologique très inquiétant
Interrogé, sur ses intentions, il s'est borné à répondre qu'il ne voulait pas lui faire du mal. Questionné sur la présence du couteau en céramique dans sa voiture ? Il a parlé de travaux qui nécessitaient l'utilisation de l'arme blanche. Deux tentatives d'excuses qui n'ont manifestement pas convaincu les jurés.
Enfin, Didier Nauche savait parfaitement ce qu'il faisait. Avant de se constituer prisonnier à la brigade de gendarmerie de La Bretagne, il s'est débarrassé de l'arme dans une poubelle
Pas la perpétuité, mais 25 ans de réclusion criminelle
La défense a tenté deminimiser la responsabilité du prévenu en rappelant que était très complexé depuis sa plus tendre enfance. Rouquin, bardé de tâches de rousseur, il a subi toute sa jeunesse les moqueries dans les cours d'école. Sa famille, sa femme c'était sa revanche sur la vie. Il n'a donc pas supporté la rupture. Il a tenté de renouer le dialogue avec Géraldine, la mère de ses deux filles, mais elle restait sourde à ses tentatives. Il a donc préféré la tuer.
Un geste fou avec lequel, il doit continuer à vivre derrière les barreaux d'une prison pour les 25 prochaines années.
C'était en janvier 2016 à Sainte-Marie. Un crime qui avait défrayé la chronique et marqué les esprits. Deux ans après les faits, l'homme présente toujours un profil très inquiétant. Lors de ces deux journées devant les assises de La Réunion, il a tenté de minimiser son geste. Pourtant, Il reconnaît avoir attendu son épouse à la sortie du supermarché, de l'avoir délibérément renversé et de l'avoir frappé à vint-et-une reprises au niveau du coup en criant : "Mi sa tue aou".
Un profil psychologique très inquiétant
Interrogé, sur ses intentions, il s'est borné à répondre qu'il ne voulait pas lui faire du mal. Questionné sur la présence du couteau en céramique dans sa voiture ? Il a parlé de travaux qui nécessitaient l'utilisation de l'arme blanche. Deux tentatives d'excuses qui n'ont manifestement pas convaincu les jurés.
Enfin, Didier Nauche savait parfaitement ce qu'il faisait. Avant de se constituer prisonnier à la brigade de gendarmerie de La Bretagne, il s'est débarrassé de l'arme dans une poubelle
Pas la perpétuité, mais 25 ans de réclusion criminelle
La défense a tenté deminimiser la responsabilité du prévenu en rappelant que était très complexé depuis sa plus tendre enfance. Rouquin, bardé de tâches de rousseur, il a subi toute sa jeunesse les moqueries dans les cours d'école. Sa famille, sa femme c'était sa revanche sur la vie. Il n'a donc pas supporté la rupture. Il a tenté de renouer le dialogue avec Géraldine, la mère de ses deux filles, mais elle restait sourde à ses tentatives. Il a donc préféré la tuer.
Un geste fou avec lequel, il doit continuer à vivre derrière les barreaux d'une prison pour les 25 prochaines années.
Reportage
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