Les quatre prévenus ont de 18 à 23 ans. Des petits délinquants qui ont commis des braquages très violents dans la nuit du 17 au 18 juillet 2015. Des vols et un enlèvement, séquestration et menaces de mutilation contre l'employée d'une boulangerie.
Ils sont quatre dans le box des accusés. Ils sont âgés de 18 à 23 ans. Ils semblent inoffensifs dans le box des accusés, pourtant ces prévenus sont poursuivis les braquages avec violences, enlèvement et séquestration. Des faits qui remontent à la nuit du 17 au 18 juillet 20158. Ce soir-là, les quatre délinquants consomment du zamal, de l'alcool et des médicaments pour se donner le courage de dévaliser deux boulangeries.
À Ravine-Blanche Saint-Pierre, ils vont dérober la fourgonnette de l'employée qui s'occupe de la vente sur les marchés. Ils n'hésitent pas à l'emmener à l'arrière du véhicule, la frapper, menacer de lui couper un doigt pour récupérer une bague avant de se débarrasser d'elle sur le bord de la quatre-voies, comme un paquet encombrant.
Des attitudes de caïds en prison
À Bras-Panon, comme à Saint-Pierre, ils braquent la boulangerie arme en main, gantées et masqués, ils ont pris leurs précautions et agissent de manière ordonnée. Ils frappent l'employé pour dérober quelques centaines euros. Alors certes, ils sont facilement identifiés par les gendarmes de la section de recherche grâce aux caméras situés sur les quatre-voies, la photo d'un radar sur laquelle ils apparaissent, dans la camionnette volée, à visage découverts et grâce à leurs pages Facebook. Ils se sont mis en scène avec les vêtements qu'ils portent la nuit de leurs braquages.
Pourtant, un élément risque de peser très lourd dans le verdict qui va être prononcé dans l'après-midi. En prison, ils se comportent comme des petits caïds et accumulent les incidents note Clicanoo... les jurés vont-il suivre le réquisitoire de l'avocat général qui a demandé en milieu de matinée de 10 à 14 ans de réclusion criminelle contre les quatre braqueurs.
À Ravine-Blanche Saint-Pierre, ils vont dérober la fourgonnette de l'employée qui s'occupe de la vente sur les marchés. Ils n'hésitent pas à l'emmener à l'arrière du véhicule, la frapper, menacer de lui couper un doigt pour récupérer une bague avant de se débarrasser d'elle sur le bord de la quatre-voies, comme un paquet encombrant.
Des attitudes de caïds en prison
À Bras-Panon, comme à Saint-Pierre, ils braquent la boulangerie arme en main, gantées et masqués, ils ont pris leurs précautions et agissent de manière ordonnée. Ils frappent l'employé pour dérober quelques centaines euros. Alors certes, ils sont facilement identifiés par les gendarmes de la section de recherche grâce aux caméras situés sur les quatre-voies, la photo d'un radar sur laquelle ils apparaissent, dans la camionnette volée, à visage découverts et grâce à leurs pages Facebook. Ils se sont mis en scène avec les vêtements qu'ils portent la nuit de leurs braquages.
Pourtant, un élément risque de peser très lourd dans le verdict qui va être prononcé dans l'après-midi. En prison, ils se comportent comme des petits caïds et accumulent les incidents note Clicanoo... les jurés vont-il suivre le réquisitoire de l'avocat général qui a demandé en milieu de matinée de 10 à 14 ans de réclusion criminelle contre les quatre braqueurs.