Avenir du chantier de la NRL, exploitation des carrières et des andains. La plateforme Transporteurs-BTP-Agriculteurs est un peu rassurée sur ces sujets après un RV à la préfecture mardi soir. Un de ses porte-parole, Jean-Bernard Caroupaye était l’invité de la matinale sur Réunionla1ère radio.
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8 jours après l’annulation de la mise à jour du schéma départemental des carrières, le président de la FNTR estime que « ça fait beaucoup d’embûches dans le déroulement du chantier. » Mais il admet que les opposants « appliquent le droit. »
Des carrières…pas que pour la NRL
Reçu par un conseiller de Sébastien Lecornu, Jean-Bernard Caroupaye se félicite du positionnement du secrétaire d’Etat, qui affirme que « La Réunion a besoin d’une carrière. » Le transporteur argumente : « On se focalise sur la NRL, mais pour construire La Réunion de demain, il faut 6 millions de tonnes de roches massives par an. »
Andains : bataille de chiffres
Alors qu’Europe Ecologie Les Verts affirme qu’il ne reste plus que 200.000 tonnes d’andains à prélever, le patron des transporteurs estime, lui, qu’ « il y en a encore un peu plus d’un million de tonnes », chiffre donné selon lui par la chambre d’agriculture et la SAFER.
Une digue au nom de l’emploi
Et l’option tout-viaduc ? Refus de Jean-Bernard Caroupaye, car « La Réunion, en terme de main d’œuvre et de connaissance, n’a pas les capacités nécessaires pour travailler sur le viaduc. » Intérêt d’une digue ? « Répartir la richesse et profiter des compétences de La Réunion par des travaux terrestres. »
Des carrières…pas que pour la NRL
Reçu par un conseiller de Sébastien Lecornu, Jean-Bernard Caroupaye se félicite du positionnement du secrétaire d’Etat, qui affirme que « La Réunion a besoin d’une carrière. » Le transporteur argumente : « On se focalise sur la NRL, mais pour construire La Réunion de demain, il faut 6 millions de tonnes de roches massives par an. »
Andains : bataille de chiffres
Alors qu’Europe Ecologie Les Verts affirme qu’il ne reste plus que 200.000 tonnes d’andains à prélever, le patron des transporteurs estime, lui, qu’ « il y en a encore un peu plus d’un million de tonnes », chiffre donné selon lui par la chambre d’agriculture et la SAFER.
Une digue au nom de l’emploi
Et l’option tout-viaduc ? Refus de Jean-Bernard Caroupaye, car « La Réunion, en terme de main d’œuvre et de connaissance, n’a pas les capacités nécessaires pour travailler sur le viaduc. » Intérêt d’une digue ? « Répartir la richesse et profiter des compétences de La Réunion par des travaux terrestres. »