Trois automobilistes doivent regretter d'avoir arroser leur week-end sans être restés chez-eux. Comme ils étaient ivres, en récidive, sans permis, sans assurance et sans contrôle technique pour l'un d'eux, leurs véhicules ont été saisis. Les trois hommes seront jugés en correctionnelle.
Policiers et gendarmes sont mobilisés sur le bord des routes réunionnaises pour les vacances scolaires du 7 au 23 mars 2020. Ils avaient annoncé le renforcement des contrôles et ils sont présents. Dès ce week-end, les motards de la gendarmerie étaient mobilisés dans le Sud et l'Est.
Une fois encore, alcoolémie, conduite sous l'emprise de drogue et excès de vitesse étaient les principaux délits constatés. Trois chauffards se sont distingués, en état de récidive légale, sans permis, sans assurance, ni contrôle technique. Les véhicules ont été saisis.
La Rivière-Saint-Louis de 19h à 23h samedi 7 et de 5h à 8h le dimanche 8 mars 2020, ils ont relevé 36 infractions : "12 alcoolémies, 3 conduites sous stupéfiants, 3 vitesses excessives, 2 défauts de permis de conduire, 2 défauts d'assurance, 2 téléphones au volant, 3 ceintures, 2 non port de casque et 3 défauts de contrôle technique."
Deux des automobilistes, déjà connus des forces de l'ordre ont vu leur véhicule partir à la fourrière. Les deux étaient alcoolisés. Le premier circulait en état de récidive légale avec dans le sang, 4 fois la dose d'alcool maximale légalement autorisée. Le second, non seulement avait bu, mais conduisait, sans permis, sans assurance et sans contrôle technique.
À Saint-Benoît, les gendarmes de la compagnie, aidés de la brigade motorisée étaient installés à la sortie de la RN2, samedi de 21h à minuit : "15 infractions graves génératrices d'accidents ont été constatées, dont 5 conduites sous stupéfiants, 3 alcoolémies, 4 défauts de permis de conduire et 3 défauts d'assurance, ayant motivé 5 immobilisations de véhicules."
Enfin, dans l'Ouest, outre les traditionnels contrôles de 4 à 7h le dimanche, les militaires ont contrôlé les usagers de la route au niveau de l'Éperon. C'est à cet endroit qu'un chauffard a été intercepté pour un banal non-port de ceinture. Très rapidement, ils constatent que l'homme est alcoolisé. La prise de sang est édifiante ! 2,30 g/par litre de sang. En effectuant les vérifications d'usage, ils apprennent que le contrevenant est en récidive, sans permis, au volant d'un véhicule faisant l'objet d'une rupture d'immobilisation. La voiture a été placée en fourrière.
Une fois encore, alcoolémie, conduite sous l'emprise de drogue et excès de vitesse étaient les principaux délits constatés. Trois chauffards se sont distingués, en état de récidive légale, sans permis, sans assurance, ni contrôle technique. Les véhicules ont été saisis.
Deux récidivistes regardent leur voiture partir vers la fourrière
La Rivière-Saint-Louis de 19h à 23h samedi 7 et de 5h à 8h le dimanche 8 mars 2020, ils ont relevé 36 infractions : "12 alcoolémies, 3 conduites sous stupéfiants, 3 vitesses excessives, 2 défauts de permis de conduire, 2 défauts d'assurance, 2 téléphones au volant, 3 ceintures, 2 non port de casque et 3 défauts de contrôle technique."
Deux des automobilistes, déjà connus des forces de l'ordre ont vu leur véhicule partir à la fourrière. Les deux étaient alcoolisés. Le premier circulait en état de récidive légale avec dans le sang, 4 fois la dose d'alcool maximale légalement autorisée. Le second, non seulement avait bu, mais conduisait, sans permis, sans assurance et sans contrôle technique.
2,30 g, sans permis, sans assurance
À Saint-Benoît, les gendarmes de la compagnie, aidés de la brigade motorisée étaient installés à la sortie de la RN2, samedi de 21h à minuit : "15 infractions graves génératrices d'accidents ont été constatées, dont 5 conduites sous stupéfiants, 3 alcoolémies, 4 défauts de permis de conduire et 3 défauts d'assurance, ayant motivé 5 immobilisations de véhicules."
Enfin, dans l'Ouest, outre les traditionnels contrôles de 4 à 7h le dimanche, les militaires ont contrôlé les usagers de la route au niveau de l'Éperon. C'est à cet endroit qu'un chauffard a été intercepté pour un banal non-port de ceinture. Très rapidement, ils constatent que l'homme est alcoolisé. La prise de sang est édifiante ! 2,30 g/par litre de sang. En effectuant les vérifications d'usage, ils apprennent que le contrevenant est en récidive, sans permis, au volant d'un véhicule faisant l'objet d'une rupture d'immobilisation. La voiture a été placée en fourrière.