Les masques en tissus se vendent sur les marchés, dans les rues de la capitale. Ils affichent les logos des vêtements de sport et des grandes marques pour répondre au goût des clients. Ils sont fabriqués par les couturières des usines textiles et vendus par leurs compagnons.
Les Mauriciens doivent se débrouiller pour faire bouillir la marmite. Les aides sociales sont limitées, le business est donc partout. Les magasins les plus modernes, les marchés officiels, les vendeurs de rue qui sont installés derrière une étale comme ceux qui travaillent discrètement sous le manteau, ne veulent pas rater une vente. Ils vous proposent les objets les plus recherchés et les plus inattendus.
Il n'est donc pas surprenant que des masques en tissus aient fleuri dans toutes les rues de la capitale. L'Express de Maurice nous apprend que pour 100 roupies mauriciennes, soit 2,20 €, vous pouvez acheter trois masques de marque et, sur d'autres stands, le vendeur vous propose deux autres masques en tissus, plus classiques, pour 50 roupies mauriciennes (1,10 €).
Un vendeur interrogé, sur cette conséquence liée à l'épidémie de Covid-19, confie au quotidien : "Ma femme travaille dans une usine, il lui est facile de se procurer les logos. Il n’y a plus, alors, qu’à rajouter les marques, histoire de plaire à une certaine clientèle."
Nous sommes loin des normes sanitaires exigées dans les pays européens. Ces masques, fabriqués à domicile, sont cousus par les employés des usines de textile qui travaillent pour les magasins installés sur les plus grandes avenues de la planète.
A côté de cette fabrication artisanale, vous pouvez acheter des masques N95, l'équivalent du FFP2 si recherché pendant la crise. Un masque est vendu 100 roupies.
Il n'est donc pas surprenant que des masques en tissus aient fleuri dans toutes les rues de la capitale. L'Express de Maurice nous apprend que pour 100 roupies mauriciennes, soit 2,20 €, vous pouvez acheter trois masques de marque et, sur d'autres stands, le vendeur vous propose deux autres masques en tissus, plus classiques, pour 50 roupies mauriciennes (1,10 €).
Des masques artisanaux et des N95
Un vendeur interrogé, sur cette conséquence liée à l'épidémie de Covid-19, confie au quotidien : "Ma femme travaille dans une usine, il lui est facile de se procurer les logos. Il n’y a plus, alors, qu’à rajouter les marques, histoire de plaire à une certaine clientèle."
Nous sommes loin des normes sanitaires exigées dans les pays européens. Ces masques, fabriqués à domicile, sont cousus par les employés des usines de textile qui travaillent pour les magasins installés sur les plus grandes avenues de la planète.
A côté de cette fabrication artisanale, vous pouvez acheter des masques N95, l'équivalent du FFP2 si recherché pendant la crise. Un masque est vendu 100 roupies.