Le réapprovisionnement des stations-services en bouteilles de gaz se fait progressivement. Mais pas facile de trouver la bonbonne qu’on cherche n'importe où. Il faut se rendre chez le bon distributeur afin d’acheter la bouteille de même marque, et ne pas payer de nouvelle consigne.
« Le retour à la normale n’est pas pour tout de suite» nous dit Johnny K’Bidy, Directeur d’exploitation à KL Gaz.
Il a commencé ses rotations tôt ce matin, afin de livrer aux stations-service « Engen » de l’ile, les bonbonnes jaune et marron dont il a la charge.
Car «Tamoil», «Total» ou «Vito», ne vendent pas les mêmes bouteilles, une couleur spécifique est attribuée à chacun d’entre-eux : bleu-marine pour «Total», vert pour «Vito», etc…
Les Réunionnais ont foncé sur les stations dès qu’elles ont commencé à être réapprovisionnées. Ils ont ramené du coup leur bouteille sans tenir compte de qui distribuait quoi ! Certains repartent même avec plusieurs bonbonnes par peur du manque.
La demande est tellement forte que certains consommateurs déposent leur consigne à l’avance, font des réservations, des files d’attente s’allongent.
Les stations prises d’assaut travaillent à flux tendu et sont rapidement en rupture.
«Il faut encourager les gens à ramener les bonnes couleurs de bouteille dans les bonnes stations" insiste Johnny K’Bidy. Il y aurait selon lui plus de 150 000 bonbonnes de gaz vides à remplir actuellement dans l’île .
Il a commencé ses rotations tôt ce matin, afin de livrer aux stations-service « Engen » de l’ile, les bonbonnes jaune et marron dont il a la charge.
Car «Tamoil», «Total» ou «Vito», ne vendent pas les mêmes bouteilles, une couleur spécifique est attribuée à chacun d’entre-eux : bleu-marine pour «Total», vert pour «Vito», etc…
Les Réunionnais ont foncé sur les stations dès qu’elles ont commencé à être réapprovisionnées. Ils ont ramené du coup leur bouteille sans tenir compte de qui distribuait quoi ! Certains repartent même avec plusieurs bonbonnes par peur du manque.
La demande est tellement forte que certains consommateurs déposent leur consigne à l’avance, font des réservations, des files d’attente s’allongent.
Les stations prises d’assaut travaillent à flux tendu et sont rapidement en rupture.
«Il faut encourager les gens à ramener les bonnes couleurs de bouteille dans les bonnes stations" insiste Johnny K’Bidy. Il y aurait selon lui plus de 150 000 bonbonnes de gaz vides à remplir actuellement dans l’île .