Depuis plusieurs années, des détenus en fin de peine peuvent participer au Grand Raid. Cette année, ils sont deux. Un moment de liberté pour ceux qui la retrouveront dans quelques mois à peine.
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L’un a participé à la Mascareignes, l’autre au Trail de Bourbon. Deux courses, de 65 et 111 km, comme une ultime épreuve vers un retour à la liberté. D’ici quelques mois, ils la retrouveront. En fin de peine, ils ont donc pu participer au Grand Raid dans le cadre de leur réinsertion.
Seule contrainte imposée : s’entraîner tous les jours. Les conditions sont parfois difficiles pour cela. Le centre de détention du Port n’est pas forcément adapté pour l’entraînement. Les deux hommes ont donc dû faire avec. Chaque jour, ils ont ainsi couru, en rond, sur terrain plat, les reliefs montagneux restent inaccessibles, sauf en de rares occasions.
En effet, pour la toute première fois, les deux hommes ont eu la possibilité d’aller s’entraîner dans les sentiers. Une sortie à Mafate leur a été permise avant la course pour reconnaître une partie du parcours.
Entretenir son corps, c’est aussi entretenir son esprit. C’est en tout cas, un des objectifs de ce projet.
Le reportage de Géraldine Blandin.
Un entraînement plus contraint
Seule contrainte imposée : s’entraîner tous les jours. Les conditions sont parfois difficiles pour cela. Le centre de détention du Port n’est pas forcément adapté pour l’entraînement. Les deux hommes ont donc dû faire avec. Chaque jour, ils ont ainsi couru, en rond, sur terrain plat, les reliefs montagneux restent inaccessibles, sauf en de rares occasions.
En effet, pour la toute première fois, les deux hommes ont eu la possibilité d’aller s’entraîner dans les sentiers. Une sortie à Mafate leur a été permise avant la course pour reconnaître une partie du parcours.
Entretenir son corps, c’est aussi entretenir son esprit. C’est en tout cas, un des objectifs de ce projet.
Le reportage de Géraldine Blandin.