Deuxième jour de grève à Air Austral ! L’Unsa, syndicat à l’origine du débrayage et la direction doivent se rencontrer dans la journée. Lundi, aucune discussion, ni négociation… Une première journée d’observation…
80% des vols prévus sont assurés sans difficulté, selon la direction d’Air Austral qui s’appuie sur les compagnies aériennes, espagnole Wamos et portugaise Hifly. Une solution qui coûte de 700 à 800 000 euros par jour.
L’Unsa, par l’intermédiaire de ses représentants, condamne cette stratégie des dirigeants. Il dénonce ce choix, soulignant que leurs interlocuteurs préfèrent payer des compagnies aériennes de secours plutôt que de titulariser les employés « historiques » précaires.
Tous les services en sous effectif
Cette première journée a-t-elle permis d’assouplir les positions des deux parties. La rencontre prévue dans la journée permettra d’en savoir plus. Pour l’instant, l’espace médiatique est largement occupé par les grévistes qui avaient organisé un piquet de grève devant le siège de la société tout au long de la journée de lundi.
L’occasion pour ces personnels de se rencontrer et d’échanger. L’occasion également, selon les responsables de l’Unsa, de constater que le malaise est général. Tous les services sont à flux tendus… Un constat qui justifie d’autant plus leurs revendications concernant l’urgence à améliorer les conditions de travail.
L’Unsa, par l’intermédiaire de ses représentants, condamne cette stratégie des dirigeants. Il dénonce ce choix, soulignant que leurs interlocuteurs préfèrent payer des compagnies aériennes de secours plutôt que de titulariser les employés « historiques » précaires.
Tous les services en sous effectif
Cette première journée a-t-elle permis d’assouplir les positions des deux parties. La rencontre prévue dans la journée permettra d’en savoir plus. Pour l’instant, l’espace médiatique est largement occupé par les grévistes qui avaient organisé un piquet de grève devant le siège de la société tout au long de la journée de lundi.
L’occasion pour ces personnels de se rencontrer et d’échanger. L’occasion également, selon les responsables de l’Unsa, de constater que le malaise est général. Tous les services sont à flux tendus… Un constat qui justifie d’autant plus leurs revendications concernant l’urgence à améliorer les conditions de travail.