Les spécialistes de Kélonia se réjouissent de la multiplication des observations de tortues vertes. Une recrudescence qui incite les scientifiques à recruter des bénévoles pour recueillir encore plus d’informations.
La vie des tortues marines passionne toujours. Où vont-elles ? Qu’elle est leur parcours avant de revenir pondre une fois adulte sur la plage d’où elles sont sorties de leurs œufs ?
Les spécialistes de Kélonia à Saint-Leu ont quelques réponses, mais sont à la recherche de nouvelles informations pour confirmer ou infirmer leurs théories.
Les tortues vertes observées ces dernières semaines dans les lagons de l’Hermitage ou Saint-Leu n’ont pas forcément vu le jour sur nos plages, mais…
Si les tortues imbriquées, qui vivent à proximité des côtes, ne se reproduisent pas à La Réunion, les tortues vertes peuvent, elles avoir vu le jour ici.
D’où viennent les tortues observées dans le lagon ?
Certes les probabilités sont faibles. On comptabilise une vingtaine de pontes depuis 2004 et le taux de survie des nouveau-nés est estimé à 1 sur 100 voire 1 sur 1000.
De plus, les courants marins, dans cette zone de l’océan Indien, ont tendance à emporter les bébés tortus vers Madagascar ou la côte Est de l’Afrique (voir les cartes ci-dessous).
Ces cartes réalisées par l’Ifremer montrent les zones favorables à la survie des nouveau-nés. Température d’eau supérieure à 18°C et nourriture abondante.
Si vous avez envie de vous associer à cette chaîne d’information, contactez Kélonia…
Cartes de l’Ifremer
Les spécialistes de Kélonia à Saint-Leu ont quelques réponses, mais sont à la recherche de nouvelles informations pour confirmer ou infirmer leurs théories.
Les tortues vertes observées ces dernières semaines dans les lagons de l’Hermitage ou Saint-Leu n’ont pas forcément vu le jour sur nos plages, mais…
Si les tortues imbriquées, qui vivent à proximité des côtes, ne se reproduisent pas à La Réunion, les tortues vertes peuvent, elles avoir vu le jour ici.
D’où viennent les tortues observées dans le lagon ?
Certes les probabilités sont faibles. On comptabilise une vingtaine de pontes depuis 2004 et le taux de survie des nouveau-nés est estimé à 1 sur 100 voire 1 sur 1000.
De plus, les courants marins, dans cette zone de l’océan Indien, ont tendance à emporter les bébés tortus vers Madagascar ou la côte Est de l’Afrique (voir les cartes ci-dessous).
Ces cartes réalisées par l’Ifremer montrent les zones favorables à la survie des nouveau-nés. Température d’eau supérieure à 18°C et nourriture abondante.
Si vous avez envie de vous associer à cette chaîne d’information, contactez Kélonia…
Cartes de l’Ifremer