Le documentaire " Quand baleines et tortues nous montrent le chemin " du réalisateur Rémy Tézier a été primée au Festival Nature de Namur. Ce film, aux images exceptionnelles et au message porteur d’espoir, remporte le Grand Prix de cette 26ème édition.
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Le réalisateur réunionnais, Rémy Tézier, remporte le grand prix au Festival international nature de Namur, en Belgique. 774 films issus de 82 pays différents étaient en compétition pour cette 26ème édition.
Une histoire racontée par Cécile de France, et co-produite avec Réunion la 1ère, diffusée en avril dernier sur la chaine. Le film le sera ensuite sur Arte, en mai.
Le réalisateur a ainsi cherché à faire un film qui soit positif sur l’environnement, après son précédent documentaire consacré aux attaques de requins à La Réunion. Il souhaite ainsi faire changer les gens de point de vue et de façon de fonctionner en montrant des solutions qui fonctionnent.
Rémy Tézier offre ainsi au public l’occasion de découvrir la relation si particulière qu’entretient une baleine à bosse avec son petit, en somme d’entrer dans l’intimité de ces animaux présents depuis des millions d’années et pourtant encore pleins de mystères pour le genre humain.
Des naturalistes, des photographes et des scientifiques, qui participent à leur protection, prennent ainsi la parole afin de dévoiler les secrets de ces animaux fascinants, mais aussi des dangers qui les guettent.
Rémy Tézier veut aussi attirer l’attention sur certaines menaces qui persistent. Les courants marins amènent des plastiques, bien souvent venus de l’Est de l’Océan Indien. Les tortues marines en sont régulièrement victimes, tout comme les baleineaux.
Dans les années 1990, des mesures de protection ont été adoptées dans l’île. L’arrêt du braconnage a été décidé et un moratoire internationnal sur la chasse à la baleine a été signé en 1982.
Un film positif sur l'environnement
Dans son documentaire, " Quand baleines et tortues nous montrent le chemin ", Rémy Tézier raconte l’histoire de Ti Bouchon, un baleineau qui vient de naître dans les eaux réunionnaises, jusqu’à son départ pour l’Antarctique, et de Petite cabosse, une tortue marine qui à grandit à La Réunion et qui s’apprête à parcourir des milliers de kilomètres pour retrouver son île natale et s’y reproduire.Une histoire racontée par Cécile de France, et co-produite avec Réunion la 1ère, diffusée en avril dernier sur la chaine. Le film le sera ensuite sur Arte, en mai.
Le réalisateur a ainsi cherché à faire un film qui soit positif sur l’environnement, après son précédent documentaire consacré aux attaques de requins à La Réunion. Il souhaite ainsi faire changer les gens de point de vue et de façon de fonctionner en montrant des solutions qui fonctionnent.
Une plongée dans l’intimité des baleines et des tortues
Rémy Tézier offre ainsi au public l’occasion de découvrir la relation si particulière qu’entretient une baleine à bosse avec son petit, en somme d’entrer dans l’intimité de ces animaux présents depuis des millions d’années et pourtant encore pleins de mystères pour le genre humain.Des naturalistes, des photographes et des scientifiques, qui participent à leur protection, prennent ainsi la parole afin de dévoiler les secrets de ces animaux fascinants, mais aussi des dangers qui les guettent.
De la nécessité de les protéger
Rémy Tézier veut aussi attirer l’attention sur certaines menaces qui persistent. Les courants marins amènent des plastiques, bien souvent venus de l’Est de l’Océan Indien. Les tortues marines en sont régulièrement victimes, tout comme les baleineaux.Dans les années 1990, des mesures de protection ont été adoptées dans l’île. L’arrêt du braconnage a été décidé et un moratoire internationnal sur la chasse à la baleine a été signé en 1982.