Produire localement plutôt qu’importer pour créer de l’emploi, c’est le souhait affiché par le syndicat des horticulteurs et pépiniéristes de La Réunion. Une nécessité pour la survie d’un secteur dont le nombre de professionnels n’a cessé de diminuer depuis 20 ans.
L’horticulture péi ne se porte pas très bien. En 20 ans, le nombre de professionnels est passé de 300 à 240. Alors pour remédier à cette situation, le syndicat a tenu une assemblée générale ce mardi 26 avril.
L’objectif : réduire les importations et produire davantage localement pour garantir les emplois. 1 000 pourraient être créés selon Patrice Fages, son président.
Le potentiel est là, assure-t-il. Chaque année le secteur horticole génère en effet près de 45 millions d’euros de chiffre d’affaire, mais une grosse partie, les fleurs surtout, est importée.
Le plan de relance voulu pour le syndicat des horticulteurs est donc le bienvenu pour les professionnels péi. Le portrait d’un d’entre eux signé Isabelle Allane, Laurent Pirotte et Jean-Pierre Picard.
L’objectif : réduire les importations et produire davantage localement pour garantir les emplois. 1 000 pourraient être créés selon Patrice Fages, son président.
Le potentiel est là, assure-t-il. Chaque année le secteur horticole génère en effet près de 45 millions d’euros de chiffre d’affaire, mais une grosse partie, les fleurs surtout, est importée.
Le plan de relance voulu pour le syndicat des horticulteurs est donc le bienvenu pour les professionnels péi. Le portrait d’un d’entre eux signé Isabelle Allane, Laurent Pirotte et Jean-Pierre Picard.