Difficile de s’y retrouver avec deux groupes se réclamant du mouvement du Président de la République. L’un est proche de la majorité régionale, l’autre dans l’opposition. La République en Marche clarifie donc les choses.
•
La chose est désormais actée. Un courrier de Christophe Castaner, le patron de la République en Marche, vient de trancher : seul le groupe intitulé la Réunion en Marche, et situé dans l’opposition à la Région, peut se réclamer du parti de la majorité présidentielle.
Un groupe dans lequel on trouve le seul parlementaire En Marche à la Réunion : Michel Dennemont.
Le courrier est adressé au président de la Région, Didier Robert lui-même. Il lui demande de contacter le groupe qui s’est appelé La République en Marche à la Région pour qu’il modifie ce nom. Jean-Gaël Anda, Léopoldine Settama et Monique Bénard, les élus concernés, ne peuvent donc plus siéger sous cette dénomination.
Mais voilà, ce groupe s’apprêtait à rejoindre la majorité à la Région et se disait en tout cas en phase avec Didier Robert, qui lui-même a estimé que la politique du gouvernement va dans le bon sens. Un sens dont seuls Michel Dennemont, Karine Nabénésa et Marie-Rose Won Fah Hin, élus opposés au président de Région, sont autorisés à se prévaloir.
Il semble donc qu’il y ait eu pas mal de bluff ces derniers temps autour de la République en Marche à la Réunion. Et les maires, qui devaient rejoindre le parti pensant soutenir du même coup le président de la Région, pourraient bien changer d’avis.
Un groupe dans lequel on trouve le seul parlementaire En Marche à la Réunion : Michel Dennemont.
Le courrier est adressé au président de la Région, Didier Robert lui-même. Il lui demande de contacter le groupe qui s’est appelé La République en Marche à la Région pour qu’il modifie ce nom. Jean-Gaël Anda, Léopoldine Settama et Monique Bénard, les élus concernés, ne peuvent donc plus siéger sous cette dénomination.
Mais voilà, ce groupe s’apprêtait à rejoindre la majorité à la Région et se disait en tout cas en phase avec Didier Robert, qui lui-même a estimé que la politique du gouvernement va dans le bon sens. Un sens dont seuls Michel Dennemont, Karine Nabénésa et Marie-Rose Won Fah Hin, élus opposés au président de Région, sont autorisés à se prévaloir.
Il semble donc qu’il y ait eu pas mal de bluff ces derniers temps autour de la République en Marche à la Réunion. Et les maires, qui devaient rejoindre le parti pensant soutenir du même coup le président de la Région, pourraient bien changer d’avis.