Le Dash a atterri ce mercredi, en début de soirée, à l’aéroport de Pierrefonds. Il avait décollé de Nimes dans la matinée. L'avion bombardier d'eau restera dans l’île jusqu'à la mi-décembre.
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Depuis les grands incendies du Maïdo de 2010 et de 2011, les moyens de lutte contre les feux de forêt ont été renforcés dans l’île. C’est ainsi que le Dash est depuis quelques années déjà, mobilisé dans l’île durant la période où l’on est le plus exposé aux incendies.
Parti de Nimes dans la matinée, l’avion bombardier d’eau a ainsi atterri ce mercredi soir dans l’île, pré-positionné comme les fois précédentes à l’aéroport de Pierrefonds. Le Dash Q400-m4 restera dans l’île durant cette période de risque, jusqu'à la mi-décembre.
Capable de larguer 10 000 litres d’eau ou de produit retardant, le Dash participe également aux missions de surveillance avec le principe du guet aérien armé (GAAR) qui lui permet d’intervenir immédiatement sur un feu naissant qu’il détecterait.
Bien qu’ils constituent un appui précieux et déterminant dans la maîtrise initiale du feu, les moyens aériens ne suffisent pas. Un feu s’éteint également "au sol" avec des sapeurs-pompiers et des personnels au contact des lisières. De la complémentarité et de la bonne coordination de ces actions dépend le succès de l’extinction.
Le massif des Hauts sous le Vent qui est moins arrosé par les pluies a connu des sinistres très importants. Plus de 70% de la surface totale du massif a été parcourue par au moins un incendie au cours des 50 dernières années.
Les conditions météorologiques (sécheresses, température et vent) ont une forte influence sur la sensibilité de la végétation au feu et sur la propagation une fois le feu déclenché.
Comment les feux sont-ils déclenchés ? 99 % des départs de feux sont causés par l’homme. L’activité humaine est la principale cause de déclenchement d’incendies, que ce soit du fait d’une activité économique (chantiers de BTP, activités agricoles, dilatation des câbles électriques...) ou bien d’une activité du quotidien (mégots de cigarettes, barbecues ou feux de camps, incendie de véhicules ou de poubelle...).
La moitié de ces feux est due à des imprudences ou des comportements dangereux (ex. feux de bivouacs). Ces imprudences sont aussi bien le fait des touristes que des locaux.
Parti de Nimes dans la matinée, l’avion bombardier d’eau a ainsi atterri ce mercredi soir dans l’île, pré-positionné comme les fois précédentes à l’aéroport de Pierrefonds. Le Dash Q400-m4 restera dans l’île durant cette période de risque, jusqu'à la mi-décembre.
Capable de larguer 10 000 litres d’eau ou de produit retardant, le Dash participe également aux missions de surveillance avec le principe du guet aérien armé (GAAR) qui lui permet d’intervenir immédiatement sur un feu naissant qu’il détecterait.
Bien qu’ils constituent un appui précieux et déterminant dans la maîtrise initiale du feu, les moyens aériens ne suffisent pas. Un feu s’éteint également "au sol" avec des sapeurs-pompiers et des personnels au contact des lisières. De la complémentarité et de la bonne coordination de ces actions dépend le succès de l’extinction.
Neuf feux de forêt sur dix sont d’origine humaine
Le massif des Hauts sous le Vent qui est moins arrosé par les pluies a connu des sinistres très importants. Plus de 70% de la surface totale du massif a été parcourue par au moins un incendie au cours des 50 dernières années.
Les conditions météorologiques (sécheresses, température et vent) ont une forte influence sur la sensibilité de la végétation au feu et sur la propagation une fois le feu déclenché.
Comment les feux sont-ils déclenchés ? 99 % des départs de feux sont causés par l’homme. L’activité humaine est la principale cause de déclenchement d’incendies, que ce soit du fait d’une activité économique (chantiers de BTP, activités agricoles, dilatation des câbles électriques...) ou bien d’une activité du quotidien (mégots de cigarettes, barbecues ou feux de camps, incendie de véhicules ou de poubelle...).
La moitié de ces feux est due à des imprudences ou des comportements dangereux (ex. feux de bivouacs). Ces imprudences sont aussi bien le fait des touristes que des locaux.