Un crash d'hélicoptère de l'armée s'est produit, ce lundi 28 janvier 2019 vers 10 heures du matin. Le pilote et ses quatre passagers ont été blessés. Parmi les victimes de cet accident, on compte deux commandants de la gendarmerie malgache.
Le bilan du crash d'hélicoptère de l'armée malgache, qui s'est produit ce lundi en milieu de matinée, aurait pu être beaucoup plus lourd. Lexpressmada.com qui relate les faits, nous apprend que les quatre passagers de l'Alouette II ont sauté de l'appareil avant qu'il ne s'écrase sur le sol se l'aéroport d'Ivato. Le pilote, qui est resté aux commandes de son appareil, est le plus gravement touché.
Les cinq victimes ont été évacuées vers l'hôpital de Tananarive.
Selon les premières analyses des spécialistes, l'accident es dû aux conditions météorologiques qui régnaient sur les hauts plateaux, lundi en fin de matinée. L'aéronef transportait les commandants du groupement de la gendarmerie de Betsiboka, de la compagnie de Tsaratanàna et le chef de la région située au Nord-Ouest de la capitale et un assistant.
Les militaires et les responsables politiques voulaient survoler les villes et villages de ce secteur qui est souvent la cible de bandes armées qui n'hésitent pas à kidnapper des citoyens pour obtenir des rançons.
En revenant de cette mission, le pilote a été confronté à une dégradation, soudaine, du temps. La visibilité est devenue insuffisante et un coup de vent a probablement précipité l'Alouette vers le sol.
Le Premier ministre a immédiatement dépêché sur place un second appareil, afin d'évacuer les blessés le plus rapidement possible. Il a par ailleurs réaffirmé l'intention de l'Etat d'éradiquer les dahalo de Betsiboka et tout mettre en œuvre pour libérer l'aide-soignant kidnappé en fin de semaine dernière.
Les cinq victimes ont été évacuées vers l'hôpital de Tananarive.
Mission de sécurité sur Betsiboka
Selon les premières analyses des spécialistes, l'accident es dû aux conditions météorologiques qui régnaient sur les hauts plateaux, lundi en fin de matinée. L'aéronef transportait les commandants du groupement de la gendarmerie de Betsiboka, de la compagnie de Tsaratanàna et le chef de la région située au Nord-Ouest de la capitale et un assistant.
Les militaires et les responsables politiques voulaient survoler les villes et villages de ce secteur qui est souvent la cible de bandes armées qui n'hésitent pas à kidnapper des citoyens pour obtenir des rançons.
Lutter contre les enlèvements
En revenant de cette mission, le pilote a été confronté à une dégradation, soudaine, du temps. La visibilité est devenue insuffisante et un coup de vent a probablement précipité l'Alouette vers le sol.
Le Premier ministre a immédiatement dépêché sur place un second appareil, afin d'évacuer les blessés le plus rapidement possible. Il a par ailleurs réaffirmé l'intention de l'Etat d'éradiquer les dahalo de Betsiboka et tout mettre en œuvre pour libérer l'aide-soignant kidnappé en fin de semaine dernière.