Madagascar, comme de nombreux pays dans le monde, traverse une crise politique due à l'épidémie de la covid-19. Des questions se posent sur les décisions prises sous le couvert de l'urgence sanitaire. L'économie, le législatif et le médical sont disséqués par les spécialistes.
La pandémie recule et la polémique avance. Les questions politiques mises sous le boisseau pendant plusieurs mois viennent de surgir brutalement cette semaine le retour des sénateurs et des députés malgaches dans les hémicycles. Les présidents des deux Chambres ne cachent plus leurs dissensions.
Trois ordonnances présidentielles prises pendant l'Etat d'urgence divisent les élus. Ils sont nombreux à s'interroger sur la nécessité de modifier la loi organique sur l'organisation du Sénat, de toucher à la loi sur le régime général des élections ou sur les règles du code minier.
C'est la première fois que la commission paritaire va unir députés et sénateurs. Ils vont devoir s'entendre, si un compromis n'est pas trouvé sur l'avenir des trois textes, le dernier mot reviendra à la Chambre basse (Assemblée nationale) écrit L'Express de Madagascar.
Le mensuel MCI (Madagascar Conseil International) s'interroge également sur la gestion politique de cette pandémie. Les premières interrogations concernent les libertés publiques, le droit du travail et le droit contractuel avec en filigrane une question : le qualificatif de "Force majeure", se justifiait-il ?
"L'Etat d'urgence" a permis d'empiéter sur : "Le droit au respect de la vie privé".
Il est également largement question du dossier épineux de la propriété intellectuelle avec la transmission à l'Organisation Mondiale de la Santé, du résultat des recherches concernant les plantes médicinales endémiques de la Grande île et les auteurs de l'article, des médecins, de s'interroger que la protection de ces données. Enfin, un Conseiller juridique passe au peigne fin le Droit du travail, du recours au chômage technique et sur la légalité des licenciements écrit Midi-Madagascar.
Trois ordonnances présidentielles prises pendant l'Etat d'urgence divisent les élus. Ils sont nombreux à s'interroger sur la nécessité de modifier la loi organique sur l'organisation du Sénat, de toucher à la loi sur le régime général des élections ou sur les règles du code minier.
C'est la première fois que la commission paritaire va unir députés et sénateurs. Ils vont devoir s'entendre, si un compromis n'est pas trouvé sur l'avenir des trois textes, le dernier mot reviendra à la Chambre basse (Assemblée nationale) écrit L'Express de Madagascar.
La gestion de crise de la covid-19 décortiquée par des spécialistes
Le mensuel MCI (Madagascar Conseil International) s'interroge également sur la gestion politique de cette pandémie. Les premières interrogations concernent les libertés publiques, le droit du travail et le droit contractuel avec en filigrane une question : le qualificatif de "Force majeure", se justifiait-il ?
"L'Etat d'urgence" a permis d'empiéter sur : "Le droit au respect de la vie privé".
Il est également largement question du dossier épineux de la propriété intellectuelle avec la transmission à l'Organisation Mondiale de la Santé, du résultat des recherches concernant les plantes médicinales endémiques de la Grande île et les auteurs de l'article, des médecins, de s'interroger que la protection de ces données. Enfin, un Conseiller juridique passe au peigne fin le Droit du travail, du recours au chômage technique et sur la légalité des licenciements écrit Midi-Madagascar.