La lutte contre le Covid-19 est aussi financière. Le FMI va alléger la dette de 19 pays africains. Madagascar est l'un d'eux. Elle sera réduite de 114 millions de dollars, soit 428,1 milliards d'ariary. Cette somme colossale devrait offrir de nouveaux moyens aux services sanitaires.
Madagascar peut se réjouir de ne pas voir l'épidémie de coronavirus exploser sur son sol, mais également, de la décision du Fond Monétaire International (FMI) d'effacer 114 millions de dollars de sa dette. La Grande île n'est pas seule sur la liste des 19 heureux bénéficiaires du continent africain sur cette liste, publiée le 28 mars 2020, qui compte 25 pays.
Au total, 500 millions de dollars vont sortir des caisses du fonds fiduciaire d'assistance et riposte aux catastrophes (ARC) au profit des pays les plus pauvres. 114 millions de dollars, soit 428,1 milliards d'ariary sont offerts à Mada.
Cette enveloppe va permettre de suppléer au remboursement de la dette. En clair, dans les six prochains mois, les obligations des bénéficiaires envers le FMI sont assurés du remboursement et peuvent utiliser les fonds qui auraient été captés par cette obligation pour répondre aux urgences sanitaires. Cette bouffée d'oxygène devrait leur permettre d'augmenter les moyens destinés à lutter contre le coronavirus.
Cette mesure avait déjà été employée en 2010 pour venir en aide à Haïti, après le tremblement de terre meurtrier écrit L'Express de Madagascar.
Le Royaume-Uni s'est engagé à verser 150 millions de livres. La Chine et le Japon ont également fait savoir au FMI qu'ils contribueraient.
Au total, 500 millions de dollars vont sortir des caisses du fonds fiduciaire d'assistance et riposte aux catastrophes (ARC) au profit des pays les plus pauvres. 114 millions de dollars, soit 428,1 milliards d'ariary sont offerts à Mada.
Le Royaume-uni, la Chine et le Japon vont contribuer
Cette enveloppe va permettre de suppléer au remboursement de la dette. En clair, dans les six prochains mois, les obligations des bénéficiaires envers le FMI sont assurés du remboursement et peuvent utiliser les fonds qui auraient été captés par cette obligation pour répondre aux urgences sanitaires. Cette bouffée d'oxygène devrait leur permettre d'augmenter les moyens destinés à lutter contre le coronavirus.
Cette mesure avait déjà été employée en 2010 pour venir en aide à Haïti, après le tremblement de terre meurtrier écrit L'Express de Madagascar.
Le Royaume-Uni s'est engagé à verser 150 millions de livres. La Chine et le Japon ont également fait savoir au FMI qu'ils contribueraient.