Un mercenaire français suspecté d'avoir participé à une tuerie dans une église de Centrafrique a été interpellé, mardi dernier et a été extradé vers la France, ce samedi 9 février 2019. Christophe Raineteau, 50 ans, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international depuis le 21 décembre 2018.
La France n'en a pas encore totalement terminé avec les barbouzes. Ce reliquat encombrant de l'époque coloniale continue de vendre ses services en Afrique. Ces soi-disant spécialistes de la sécurité travaillent pour le plus offrant et n'hésitent pas à tuer, si c'est bien payé.
Christophe Raineteau, 50 ans, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international depuis les 21 décembre 2018. Le Nantais a été arrêté mardi, par la police de l'air et des frontières de Madagascar alors qu'il descendait de l'avion.
Il était recherché à la demande des autorités Centrafricaines, écrit lespressmamda.com pour avoir organisé une tuerie dans une église de Bangui. C'était le 1er mai 2018, ce mardi matin là, en plein office, un groupe d'hommes fait irruption, armes aux poings, dans l'Église catholique Notre-Dame-de-Fatima. Sans sommation, ils ouvrent le feu et tuent 25 fidèles et le prêtre.
Pour la justice centrafricaine, toutes les pistes convergent vers le mercenaire. Il a ordonné et orchestré l'attentat de Bangui.
Samedi, la justice de la Grande île a rendu un avis favorable à l'extradition du mercenaire français. Dans la soirée, il a été transféré à l'aéroport d'Ivato, d'où il a été extradé vers la France écrit lexpressmada.com.
Désormais, le quinquagénaire va devoir répondre de son crime en Centrafrique. Il n'est pas impossible que de nombreux autre dossiers ressurgissent du passé. Le mercenaire a vendu ses services dans de nombreux pays africains où ses sociétés "spécialisées" dans la sécurité prospéraient.
Christophe Raineteau, 50 ans, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international depuis les 21 décembre 2018. Le Nantais a été arrêté mardi, par la police de l'air et des frontières de Madagascar alors qu'il descendait de l'avion.
25 fidèles et le curé, exécutés dans l'église de Bangui
Il était recherché à la demande des autorités Centrafricaines, écrit lespressmamda.com pour avoir organisé une tuerie dans une église de Bangui. C'était le 1er mai 2018, ce mardi matin là, en plein office, un groupe d'hommes fait irruption, armes aux poings, dans l'Église catholique Notre-Dame-de-Fatima. Sans sommation, ils ouvrent le feu et tuent 25 fidèles et le prêtre.
Pour la justice centrafricaine, toutes les pistes convergent vers le mercenaire. Il a ordonné et orchestré l'attentat de Bangui.
Extradé vers la France
Samedi, la justice de la Grande île a rendu un avis favorable à l'extradition du mercenaire français. Dans la soirée, il a été transféré à l'aéroport d'Ivato, d'où il a été extradé vers la France écrit lexpressmada.com.
Désormais, le quinquagénaire va devoir répondre de son crime en Centrafrique. Il n'est pas impossible que de nombreux autre dossiers ressurgissent du passé. Le mercenaire a vendu ses services dans de nombreux pays africains où ses sociétés "spécialisées" dans la sécurité prospéraient.