Le retour du Marion-Dufresne au Port de la Pointe-des-Galets est très médiatisé. A son bord Kito de Pavant, le Navigateur solitaire victime d’une fortune de mer le 7 Décembre 2016 au Kerguelen, secouru par le bateau de recherches.
Le 7 Décembre 2016, au Sud de l’océan Indien, le Marion Dufresne arrive juste à temps pour secourir Kito de Pavant. Le célèbre navigateur solitaire qui participait au Vendée-Globe a été victime d’une avarie. Le skipper de Batisde-Otio est contraint d’abandonner son voilier.
Depuis cette triste rencontre avec un Ofni (objet flottant non-identifié), probablement une baleine, le quinquagénaire patientait dans la cabine réservée au préfet des Taaf (Terres australes et antarctiques françaises).
Un long voyage de 23 jours entre les Kerguelen, Crozet, Amsterdam qui lui a permis de digérer la triste fin de son tour du monde en solitaire avec le pire moment pour un marin : abandonner son navire…
A peine débarqué, déjà envolé
A peine arrivé, Kito de Pavant va rassembler ses affaires, saluer quelques amis venus l’accueillir et s’envoler le soir même vers la métropole.
La fin brutale de son tour du monde le contraint à se concentrer sur la paperasse. Comme pour tous les accidents de la vie désormais, des montagnes de documents doivent être remplis dans les meilleurs délais. Cette mésaventure a permis au loup solitaire de faire de belles rencontres et de goûter aux langoustes du sud de l’océan Indien (Ndlr : mes meilleurs du monde paraît-il). Des crustacés cuisinés de main de maître sur le Marion-Dufresne a reconnu le naufragé sur le site Clicanoo…
Après des semaines de partage, les Français n’ont pas réalisé qu’ils avaient offensé les habitants des lieux en ne respectant pas plusieurs interdits.
Tué et mangé
Finalement, le 12 juin 1772 Marion-Dufresne, inconscient du danger, quitte son navire pour se rendre sur terre avec une douzaine d’hommes. Ils tombent dans une embuscade, sont tués et mangés…
Un mois plus tard, après de rudes combats, les deux navires partent de Nouvelle-Zélande en direction de La Réunion nous apprend le journal Tahiti-Infos.
Depuis cette triste rencontre avec un Ofni (objet flottant non-identifié), probablement une baleine, le quinquagénaire patientait dans la cabine réservée au préfet des Taaf (Terres australes et antarctiques françaises).
Un long voyage de 23 jours entre les Kerguelen, Crozet, Amsterdam qui lui a permis de digérer la triste fin de son tour du monde en solitaire avec le pire moment pour un marin : abandonner son navire…
A peine débarqué, déjà envolé
A peine arrivé, Kito de Pavant va rassembler ses affaires, saluer quelques amis venus l’accueillir et s’envoler le soir même vers la métropole.
La fin brutale de son tour du monde le contraint à se concentrer sur la paperasse. Comme pour tous les accidents de la vie désormais, des montagnes de documents doivent être remplis dans les meilleurs délais. Cette mésaventure a permis au loup solitaire de faire de belles rencontres et de goûter aux langoustes du sud de l’océan Indien (Ndlr : mes meilleurs du monde paraît-il). Des crustacés cuisinés de main de maître sur le Marion-Dufresne a reconnu le naufragé sur le site Clicanoo…
La fin tragique de Marion-Dufresne le 12 Juin 1772 en Nouvelle-Zélande
Le commandant Marc-joseph Marion-Dufresne a été tué à l’âge de 47 ans en Nouvelle-Zélande alors qu’il était en escale forcée depuis des mois dans une baie de cette île. Arrivé le 4 Mai, le navigateur malouin avait décidé de profiter de l’accueil amical des Maoris pour réparer le « Mascarin » et le « Marquis-de-Castries », les deux navires de cette expédition.Après des semaines de partage, les Français n’ont pas réalisé qu’ils avaient offensé les habitants des lieux en ne respectant pas plusieurs interdits.
Tué et mangé
Finalement, le 12 juin 1772 Marion-Dufresne, inconscient du danger, quitte son navire pour se rendre sur terre avec une douzaine d’hommes. Ils tombent dans une embuscade, sont tués et mangés…
Un mois plus tard, après de rudes combats, les deux navires partent de Nouvelle-Zélande en direction de La Réunion nous apprend le journal Tahiti-Infos.