Le piment mauricien est malade. Les plantations de l'île sœur sont victimes de champignons et de thrips. Ces parasites se développent quand le temps est chaud et humide.
Pas de piment pour accompagner son riz, un cauchemar pour la grande majorité des Réunionnais, bientôt une réalité pour les Mauriciens, si aucune solution n'est trouvée pour sauver les plantations de piment de l'île soeur.
Ce lundi 2 septembre 2019, le kilos de piments était vendu 300 roupies mauriciennes (7,54 €). Une fortune !
Cette envolée des prix est due à un champignon et à un insecte. Le temps chaud et humide qui règne depuis plusieurs semaines a permis à l'anthracnose, champignon microscopique et au thrips, minuscule insecte, de s'installer dans les cultures.
Les spécialistes soulignent sur Ion News que ces deux plaies pour les champs de piments croissent quand le temps est chaud et humide et Kreepalloo Sunghoon de préciser : "Les insecticides qu’utilisent les planteurs sont aujourd’hui interdits suite aux conventions que Maurice a signées. Pour l’instant, la seule solution reste la prévention".
Ce lundi 2 septembre 2019, le kilos de piments était vendu 300 roupies mauriciennes (7,54 €). Une fortune !
Cette envolée des prix est due à un champignon et à un insecte. Le temps chaud et humide qui règne depuis plusieurs semaines a permis à l'anthracnose, champignon microscopique et au thrips, minuscule insecte, de s'installer dans les cultures.
Les agriculteurs n'utilisent plus d'insecticide
Les spécialistes soulignent sur Ion News que ces deux plaies pour les champs de piments croissent quand le temps est chaud et humide et Kreepalloo Sunghoon de préciser : "Les insecticides qu’utilisent les planteurs sont aujourd’hui interdits suite aux conventions que Maurice a signées. Pour l’instant, la seule solution reste la prévention".