Le MEDEF dans un communiqué se déclare inquiet sur la pérennité de la Chambre de commerce et d’industrie, au vu du raprort de la Cour des comptes rendu public après l’assemblée générale de la CCIR le 21 mars dernier.
Voici le communiqué du MEDEF Réunion :
Les élus représentant le MEDEF Réunion n’ont eu de cesse, entre 2010 et 2016, de dénoncer la gestion calamiteuse de la CCI sous la gouvernance de son président Ibrahim Patel, et de la signaler aux autorités.
En effet, dérives financières, dépenses somptuaires pour des événements, explosion de la masse salariale sans augmentation pourtant des services rendus aux entreprises, ventes d'actifs pour compenser les pertes, ont malheureusement marqué la première mandature, et semblent perdurer sans que le président de la CCI n'annonce de mesures correctives et responsables pour redresser les comptes.
Alors qu'une Chambre de commerce se doit d'être pilotée par des chefs d'entreprise exemplaires et compétents, de bâtir le terreau de la compétitivité et de la croissance, et de guider les entreprises pour qu'elles soient plus performantes, on constate l'absence totale de stratégie, le manque de vision, ainsi que la non-maîtrise des comptes.
Le MEDEF Réunion, n'ayant plus de représentants à la CCIR suite au simulacre d'élection, tient à dénoncer publiquement cette situation catastrophique, qui risque de conduire la CCIR à la faillite.
Le MEDEF Réunion demande à ce que l’Etat assume pleinement ses responsabilités et place immédiatement la CCIR sous tutelle renforcée afin de préserver cet outil essentiel à la vie des entreprises, et notamment des TPE.
Les élus représentant le MEDEF Réunion n’ont eu de cesse, entre 2010 et 2016, de dénoncer la gestion calamiteuse de la CCI sous la gouvernance de son président Ibrahim Patel, et de la signaler aux autorités.
En effet, dérives financières, dépenses somptuaires pour des événements, explosion de la masse salariale sans augmentation pourtant des services rendus aux entreprises, ventes d'actifs pour compenser les pertes, ont malheureusement marqué la première mandature, et semblent perdurer sans que le président de la CCI n'annonce de mesures correctives et responsables pour redresser les comptes.
Alors qu'une Chambre de commerce se doit d'être pilotée par des chefs d'entreprise exemplaires et compétents, de bâtir le terreau de la compétitivité et de la croissance, et de guider les entreprises pour qu'elles soient plus performantes, on constate l'absence totale de stratégie, le manque de vision, ainsi que la non-maîtrise des comptes.
Le MEDEF Réunion, n'ayant plus de représentants à la CCIR suite au simulacre d'élection, tient à dénoncer publiquement cette situation catastrophique, qui risque de conduire la CCIR à la faillite.
Le MEDEF Réunion demande à ce que l’Etat assume pleinement ses responsabilités et place immédiatement la CCIR sous tutelle renforcée afin de préserver cet outil essentiel à la vie des entreprises, et notamment des TPE.
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