Il fut interdit en 1948 par le gouvernement français. Et comme le Maloya, il revient sur le devant de la scène dans les années 80.
Pour le combat qui est comme un vrai batay coq, i fo rant’ dan’ ron, caresse la terre en gardant l’autre main sur le visage et fixant son adversaire dans les yeux. Une fois les bras levés vers le ciel, il faut sauter en extension poitrine contre poitrine. In ti coup de pied par ci, et in ti coup de poing par là au son d’un rouler et des applaudissements, sans s’arrêter de bouger son corps au pas d’une danse « africanisée ». Merci à Jean-René Dreinaza, ancien boxeur, qui a essaimé partout dans l’île des écoles pour immortaliser ce patrimoine culturel. Zétoiles Nout band zancêtres i dwa brillent in bonpé là-haut.