Les JLD ont décidé hier de ne pas prolonger le maintien en zone d’attente des 104 migrants présentés au tribunal de Champ Fleuri Hier, jeudi 18 avril. Le parquet a fait appel de la décision, en conséquence les Sri-Lankais restent pour le moment au gymnase de Sainte-Marie.
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Il leur faudra attendre la décision de la Cour d’appel. Les migrants présentés hier, jeudi 18 avril, devant les Juges des Libertés et de la Détention seront-ils finalement libres ?
Dans la soirée, les juges ont bien rejeté la demande de prolongation du maintien en zone d’attente formulée par la préfecture, les rendant libres de déposer leur demande d’asile en préfecture, comme le veut la procédure classique. Mais le parquet a fait appel de la décision.
La Cour d’appel de Saint-Denis, ainsi saisie, devrait rendre sa décision demain, samedi 20 avril. En attendant, les migrants doivent rester à la disposition de la justice et demeurent donc toujours au gymnase de Duparc à Sainte-Marie, le recours étant suspensif. Un nouveau marathon judiciaire se profile donc.
D’autre part, après que le tribunal administratif se soit déclaré incompétent pour juger le "référé-liberté" déposé par le groupe d’avocats des migrants, ils ont donc saisi le conseil d’Etat. La plus haute juridiction administrative française devrait prendre une décision rapidement.
Dans la soirée, les juges ont bien rejeté la demande de prolongation du maintien en zone d’attente formulée par la préfecture, les rendant libres de déposer leur demande d’asile en préfecture, comme le veut la procédure classique. Mais le parquet a fait appel de la décision.
La Cour d’appel de Saint-Denis, ainsi saisie, devrait rendre sa décision demain, samedi 20 avril. En attendant, les migrants doivent rester à la disposition de la justice et demeurent donc toujours au gymnase de Duparc à Sainte-Marie, le recours étant suspensif. Un nouveau marathon judiciaire se profile donc.
D’autre part, après que le tribunal administratif se soit déclaré incompétent pour juger le "référé-liberté" déposé par le groupe d’avocats des migrants, ils ont donc saisi le conseil d’Etat. La plus haute juridiction administrative française devrait prendre une décision rapidement.