Miss France 2022 : les 29 candidates sont arrivées à La Réunion

Les 29 prétendantes au titre de Miss France 2022 ont débarqué à La Réunion ce jeudi 18 novembre, en préparation de la grande finale du 11 décembre, à Caen. A peine les pieds posés sur le tarmac de l’aéroport, elles ont eu droit à une séance photo et à un accueil chaleureux au son du maloya.

Les candidates à l’élection de Miss France 2022 sont arrivées ce jeudi 18 novembre à La Réunion. Ce séjour sur notre île s’avère être un voyage de préparation pour les 29 prétendantes au titre avant la tenue de la grande soirée qui se déroulera le 11 décembre prochain, à Caen.

"Nous sommes ravies de pouvoir réaliser ce voyage, a confié sur place Sylvie Tellier, la directrice générale de la société Miss France. C’est vrai que c’est une tradition dans l’aventure Miss France de permettre aux jeunes femmes, avant cette grande finale du 11 décembre, de venir se détendre au soleil. Les conditions ici sont exceptionnelles".

Regardez le reportage de Réunion La 1ère :

"L'aventure commence"

C’est aussi l’occasion pour ces jeunes femmes de mieux faire connaissance. Et pour cause : leur aventure ne fait que commencer. L’ensemble des candidates se sont réunies en effet pour la première fois en début de semaine, à Paris, le lundi 15 novembre.

A leur arrivée ce matin à l’aéroport de Roland-Garros, elles ont été accueillies au son du maloya au pied de leur avion. Elles n’ont d’ailleurs pas hésité à suivre Miss Réunion, la jeune Dana Virin, pour faire quelques pas de danse au rythme du roulèr et du kayanm.

Une semaine intense sur l'île

Après un premier shooting photo, toujours sur le tarmac de l’aéroport, les 29 Miss ont poursuivi leur programme qui s’annonce intense. Durant une semaine, elles vont partir à la découverte des richesses de notre île, comme l’a souligné Sylvie Tellier.

"Les jeunes femmes vont découvrir Mafate, le Piton de la Fournaise, la cascade de Langevin, a-t-elle précisé. Elles vont aller à la rencontre des Réunionnais évidemment, puisque c’est le but de cette présence ici, tout en respectant ce contexte sanitaire qui est quand même très compliqué encore".