La rentrée arrive, les fournitures sont achetées, les vêtements également, mais avez-vous pensez aux poux ? Le parasite est bien sûr interdit de séjour dans les écoles, alors pour les moins chanceux des moments difficiles pourraient bien se profiler.
•
C’est une corvée que redoutent beaucoup de parents. Qui n’a jamais connu les interminables séances d’épouillage, ces moments qui mettent à rude épreuve les nerfs des petits et des grands ?
Et à l’approche de la rentrée, certains y ont bien pensé.
Pas de poux à l’école, telle est la règle. Alors pour ne pas avoir à garder les enfants à la maison au dernier moment, il faut bien s’y coller. Mais l’exercice n’est pas de tout repos.
Trouver le bon produit, chimique ou naturel, l’appliquer correctement, puis le laisser poser suffisamment, tout cela en espérant que l’enfant soit coopérant. Et ce n’est pas fini, il faut encore passer méticuleusement le fameux peigne fin. Enfin, quand tout cela est fait, il faut bien souvent renouveler l’opération, le calvaire semble alors interminable.
Une corvée dont beaucoup de parents aimeraient bien se débarrasser. Et c’est ce qu’ont compris certains. Les centres et instituts anti-poux se multiplient. A La Réunion, il en est un qui s’est ouvert il y a quelques semaines à Saint-Pierre. Il propose ainsi de prendre en charge, les têtes à poux.
Cette fois en revanche, aucun produit n’est utilisé, c’est en fait une machine qui fait tout le boulot ou presque. Le principe est assez simple, de l’air chaud, à 58°C, est diffusé sur le crâne, ce qui permet de déshydrater poux et lentes. Morts, les « bestioles » sont ensuite aspirées. A la fin seulement, le traditionnel peigne fin reprend tout de même du service pour être sûr d’éliminer les individus les plus résistants.
Si la méthode semble moins fastidieuse, est-elle plus efficace ? Les enfants doivent en tout cas là aussi se prêter au jeu. Alors pour les occuper, des tablettes sont mises à disposition le temps du traitement. Deux séances sont normalement nécessaires pour arriver à bout des parasites. Mais la méthode a tout de même un coût, ainsi le prix de la séance peut varier de 49 à 89 euros selon la longueur des cheveux.
Et à l’approche de la rentrée, certains y ont bien pensé.
Pas de poux à l’école, telle est la règle. Alors pour ne pas avoir à garder les enfants à la maison au dernier moment, il faut bien s’y coller. Mais l’exercice n’est pas de tout repos.
Long et fastidieux
Trouver le bon produit, chimique ou naturel, l’appliquer correctement, puis le laisser poser suffisamment, tout cela en espérant que l’enfant soit coopérant. Et ce n’est pas fini, il faut encore passer méticuleusement le fameux peigne fin. Enfin, quand tout cela est fait, il faut bien souvent renouveler l’opération, le calvaire semble alors interminable.
Une corvée dont beaucoup de parents aimeraient bien se débarrasser. Et c’est ce qu’ont compris certains. Les centres et instituts anti-poux se multiplient. A La Réunion, il en est un qui s’est ouvert il y a quelques semaines à Saint-Pierre. Il propose ainsi de prendre en charge, les têtes à poux.
Un souffle nouveau ?
Cette fois en revanche, aucun produit n’est utilisé, c’est en fait une machine qui fait tout le boulot ou presque. Le principe est assez simple, de l’air chaud, à 58°C, est diffusé sur le crâne, ce qui permet de déshydrater poux et lentes. Morts, les « bestioles » sont ensuite aspirées. A la fin seulement, le traditionnel peigne fin reprend tout de même du service pour être sûr d’éliminer les individus les plus résistants.
Si la méthode semble moins fastidieuse, est-elle plus efficace ? Les enfants doivent en tout cas là aussi se prêter au jeu. Alors pour les occuper, des tablettes sont mises à disposition le temps du traitement. Deux séances sont normalement nécessaires pour arriver à bout des parasites. Mais la méthode a tout de même un coût, ainsi le prix de la séance peut varier de 49 à 89 euros selon la longueur des cheveux.