Pierre Macquart est parti à l’âge de 62 ans. Il restera comme étant celui qui a œuvré pour l’expression des artistes réunionnais, et pour les échanges entre musiciens de la région.
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Par pudeur ou par tristesse, ils n’ont guère été nombreux à s’exprimer officiellement, ce mercredi soir, sur le décès de Pierre Macquart. Seules quelques personnalités du milieu culturel ou artistique expriment leur douleur sur les réseaux sociaux. C’est le cas de son meilleur ami et patron du Sakifo, Jérôme Galabert. Sur sa page Facebook, il écrit : « mon frangin, mon tonton karma, a décidé d’entreprendre un long voyage ».
En tout cas, cette disparition laisse déjà un très grand vide. Pierre Macquart est celui qui a œuvré pour la musique à l’île de la Réunion. Il a été l’un des pionniers dans la programmation de concerts.
Ce toulousain d’origine était arrivé chez nous dans les années 80. On se souvient de lui avec le T Bird, le lieu où il fallait être à Saint-Denis, quand on aimait la musique et le jazz. Dans le milieu des années 90, il a créé le Bato Fou, à Saint-Pierre.
Il y a eu aussi, à son actif, les festivals, dont il a été le directeur de celui de Manapany.
La Réunion a perdu un de ses enfants. Le formuler ainsi, ne surprendra, ni ne choquera personne dans l’île.
En tout cas, cette disparition laisse déjà un très grand vide. Pierre Macquart est celui qui a œuvré pour la musique à l’île de la Réunion. Il a été l’un des pionniers dans la programmation de concerts.
Ce toulousain d’origine était arrivé chez nous dans les années 80. On se souvient de lui avec le T Bird, le lieu où il fallait être à Saint-Denis, quand on aimait la musique et le jazz. Dans le milieu des années 90, il a créé le Bato Fou, à Saint-Pierre.
Il y a eu aussi, à son actif, les festivals, dont il a été le directeur de celui de Manapany.
La Réunion a perdu un de ses enfants. Le formuler ainsi, ne surprendra, ni ne choquera personne dans l’île.