Il est le dernier né du Piton de la Fournaise. Apparu lors de la dernière éruption, celle du 25 au 27 octobre 2019, le Piton Fréri porte le nom d’un chirurgien de la Marine du milieu du 18ème siècle ayant réalisé en 1751 la première ascension du Volcan par les Grandes Pentes.
D’abord à cheval depuis Saint-Benoît, puis à pieds le long du littoral jusqu’au " grand pays brûlé inhabité ". Arrivé dans le Grand Brûlé, l’expédition se fraiera un chemin par les Grandes Pentes en direction du sommet du Volcan.
Si l’itinéraire emprunté ne sera jamais décrit avec exactitude, les difficultés de l’ascension des Grandes Pentes, interrompue par cause de mauvais temps feront en revanche bien partie du récit de cette aventure. Malgré le caractère inabouti de la tentative, elle figurera comme une avancée inédite pour la conquête du Piton de la Fournaise.
C’est donc pour rendre hommage à Fréri et aux hommes qui l’ont accompagné que l’Observatoire Volcanologique du Piton de la Fournaise, la Cité du Volcan et le Parc National de La Réunion ont choisi de baptiser de son nom le nouveau cône volcanique, formé lors de la dernière éruption du 25 au 27 octobre.
Durant 3 jours, le Piton de la Fournaise s'est réveillé, laissant une coulée de lave s'échapper et glisser le long des Grandes Pentes. La route entre Sainte-Rose et Saint-Philippe avait alors été fermée, sans qu'heureusement la lave ne la traverse.
Si l’itinéraire emprunté ne sera jamais décrit avec exactitude, les difficultés de l’ascension des Grandes Pentes, interrompue par cause de mauvais temps feront en revanche bien partie du récit de cette aventure. Malgré le caractère inabouti de la tentative, elle figurera comme une avancée inédite pour la conquête du Piton de la Fournaise.
C’est donc pour rendre hommage à Fréri et aux hommes qui l’ont accompagné que l’Observatoire Volcanologique du Piton de la Fournaise, la Cité du Volcan et le Parc National de La Réunion ont choisi de baptiser de son nom le nouveau cône volcanique, formé lors de la dernière éruption du 25 au 27 octobre.
Durant 3 jours, le Piton de la Fournaise s'est réveillé, laissant une coulée de lave s'échapper et glisser le long des Grandes Pentes. La route entre Sainte-Rose et Saint-Philippe avait alors été fermée, sans qu'heureusement la lave ne la traverse.