Marco Boyer, maire de la Plaine-des-Palmistes, entendu au sujet de la manifestation du 27 Octobre 2015, devant l’école Claire-Hénou. Il est suspecté d’avoir organisé la manifestation pour obtenir le renvoi d’une opposante, embauchée dans l’établissement.
Une semaine s’est écoulée depuis la manifestation, virulente de sympathisants du maire de la Plaine-des-Palmistes devant l’école Claire-Hénou.
Cette fois, ce ne sont pas les gendarmes de Saint-Benoît qui sont venus à la Plaine-des-Palmistes pour ramener le calme mais, le maire qui s’est rendu chez-eux. Il a été entendu au sujet de ce rassemblement « spontané » d’employés communaux pour exiger le licenciement d’une opposante politique.
Une opposante encombrante
Au cours de ce regroupement de prétendus « parents d’élèves » inquiets, un reporteur du Journal de l’île avait été pris à parti et son téléphone mobile brisé.
Cependant la cible des manifestants était clairement identifiée. Corinne Vassille, opposante à la majorité municipale, était accusée de mille maux. Incompétence au mieux, fumeuse de « zamal » devant les élèves au pire selon les fameux « témoins » regroupés devant la grille de l’école primaire. Nouvellement employée pour accompagner les élèves handicapés, cette mère de famille a surtout un énorme défaut, c’est une opposante à Marco Boyer.
Refusant de baisser la tête devant l’édile, la mise en cause a décidé de porter plainte. C’est dans ce cadre que le maire a été entendu par les militaires.
Cette fois, ce ne sont pas les gendarmes de Saint-Benoît qui sont venus à la Plaine-des-Palmistes pour ramener le calme mais, le maire qui s’est rendu chez-eux. Il a été entendu au sujet de ce rassemblement « spontané » d’employés communaux pour exiger le licenciement d’une opposante politique.
Une opposante encombrante
Au cours de ce regroupement de prétendus « parents d’élèves » inquiets, un reporteur du Journal de l’île avait été pris à parti et son téléphone mobile brisé.
Cependant la cible des manifestants était clairement identifiée. Corinne Vassille, opposante à la majorité municipale, était accusée de mille maux. Incompétence au mieux, fumeuse de « zamal » devant les élèves au pire selon les fameux « témoins » regroupés devant la grille de l’école primaire. Nouvellement employée pour accompagner les élèves handicapés, cette mère de famille a surtout un énorme défaut, c’est une opposante à Marco Boyer.
Refusant de baisser la tête devant l’édile, la mise en cause a décidé de porter plainte. C’est dans ce cadre que le maire a été entendu par les militaires.