En 20 ans de cette activité, Annie-Rose a modernisé son exploitation, son poulailler occupe aujourd’hui un grand hangar, mais sa journée de travail débute toujours à 7h.
« Une femme à la tête d’une exploitation c’est comme çà » dit elle en levant le pouce.
Elle poursuit « parce que la femme n’a pas que le bâtiment, les coqs et les poulets.... elle a aussi la comptabilité, elle a sa famille et quand on voit le résultat de son travail, c’est valorisant »
Annie-Rose élève 1200 coqs chaque trimestre. Elle traverse parfois des moments difficiles. « Je pleurs un moment et je me retrousse les manches, je n’ai pas d’autres solutions ».
Pour elle, la Journée internationale de la femme rurale, ce samedi 15 octobre, est une journée de travail comme une autre.
Cette journée a été instituée pour reconnaitre l'apport et le rôle décisif des femmes rurales dans le développement de la socièté.
En images avec Laurent Pirotte, Laurent Josse et Valérie Philogène
Elle poursuit « parce que la femme n’a pas que le bâtiment, les coqs et les poulets.... elle a aussi la comptabilité, elle a sa famille et quand on voit le résultat de son travail, c’est valorisant »
Annie-Rose élève 1200 coqs chaque trimestre. Elle traverse parfois des moments difficiles. « Je pleurs un moment et je me retrousse les manches, je n’ai pas d’autres solutions ».
Pour elle, la Journée internationale de la femme rurale, ce samedi 15 octobre, est une journée de travail comme une autre.
Cette journée a été instituée pour reconnaitre l'apport et le rôle décisif des femmes rurales dans le développement de la socièté.
En images avec Laurent Pirotte, Laurent Josse et Valérie Philogène