Le procès en appel des passeurs présumés de migrants prévu ce jeudi matin est reporté en début d'après-midi faute de traducteur.
Les Indonésiens soupçonnés de trafic d’êtres humains avaient écopé en première instance de 12 à 18 mois de prison ferme
Les Indonésiens soupçonnés de trafic d’êtres humains avaient écopé en première instance de 12 à 18 mois de prison ferme
Le 13 Avril dernier, 120 migrants sont arrivés par l’océan à Sainte-Rose, entassés sur un bateau. Les autorités avaient interpellé 3 hommes d’origine indonésienne, soupçonnés de trafic d’êtres humains.
Jugés un mois plus tard, les passeurs présumés ont eu des peines de prison allant d’un an à 18 mois ferme pour « aide à l’entrée ou séjour irrégulier en bande organisée ». Leurs avocats avaient fait appel de cette décision. L'un d'entre-eux a d'ailleurs fait une demande de renvoi ce mercredi soir, l'audience pourrait par conséquent, être reportée à plus tard.
Jugés un mois plus tard, les passeurs présumés ont eu des peines de prison allant d’un an à 18 mois ferme pour « aide à l’entrée ou séjour irrégulier en bande organisée ». Leurs avocats avaient fait appel de cette décision. L'un d'entre-eux a d'ailleurs fait une demande de renvoi ce mercredi soir, l'audience pourrait par conséquent, être reportée à plus tard.