Le phénomène est exceptionnel. Pour la première fois, les vergers ne pourront pas couvrir la demande en letchis.
Les producteurs de letchis sont désespérés. Cette année, les vergers sont bien verts, et la couleur rouge des fruits quasiment inexistante. Il y a bien ici où là quelques grappes de letchis, mais elles ne suffiront pas à couvrir la demande.
Raphael Avice exporte habituellement 100 à 150 tonnes de letchis vers la métropole. Cette année il perd 600 000 euros. Il ne pourra pas employer les saisonniers pour cueillir les fruits, faute de letchis.
Le propriétaire du verger voisin est désespéré. Ses arbres ont 25 ans et c'est la première fois qu'il est confronté à cette situation. Et il ne trouve pas d'explication. Les revenus qu'il retirait chaque année de la vente des letchis ne seront pas au rendez-vous fin 2017.
Il devra engager des dépenses pour l'entretien du verger pour la récolte en fin d'année 2018.
Les producteurs attendent des aides et une reconnaissance de l'état de catastrophe climatique.
Raphael Avice exporte habituellement 100 à 150 tonnes de letchis vers la métropole. Cette année il perd 600 000 euros. Il ne pourra pas employer les saisonniers pour cueillir les fruits, faute de letchis.
Le propriétaire du verger voisin est désespéré. Ses arbres ont 25 ans et c'est la première fois qu'il est confronté à cette situation. Et il ne trouve pas d'explication. Les revenus qu'il retirait chaque année de la vente des letchis ne seront pas au rendez-vous fin 2017.
Il devra engager des dépenses pour l'entretien du verger pour la récolte en fin d'année 2018.
Les producteurs attendent des aides et une reconnaissance de l'état de catastrophe climatique.