Au marché, en pharmacie, à la boulangerie ou dans d'autres petits commerces, le sac plastique vit ses derniers jours.
On en distribue 16 000 chaque seconde dans le monde. Ils polluent paysages et océans. Ils seront donc interdits à compter du 1er juillet en France.
On en distribue 16 000 chaque seconde dans le monde. Ils polluent paysages et océans. Ils seront donc interdits à compter du 1er juillet en France.
Chaque année 500 milliards de sachets plastiques sont produits sur la planète. C'est d'abord un gaspillage de pétrole puisque le matériaux ressource qui sert à les fabriquer vient à se raréfier.
C'est ensuite un danger pour l'environnement puisque le plastique met des années à se décomposer et qu'il finit par boucher les océans et en particulier les systèmes digestifs des animaux. La faune marine, des plus grands animaux comme les baleines, jusqu'au plus petits comme les moules voire encore plus petits, meure l'estomac plein de ce qui ressemble à une savoureuse méduse ou un délicieux plancton !
L'interdiction des sacs plastiques au 1er juilet est une mesure de la loi sur la transition énergétique. Comment vont s'organiser les commercants ? Beaucoup ont pris les devants en proposant les sacs biodégradables en papier ou en amidon de maïs, de pommes de terre ou encore en amidon de manioc. On voit cela sur le marché de Saint-Gilles avec ce reportage de Jean-marc Seguin.
C'est ensuite un danger pour l'environnement puisque le plastique met des années à se décomposer et qu'il finit par boucher les océans et en particulier les systèmes digestifs des animaux. La faune marine, des plus grands animaux comme les baleines, jusqu'au plus petits comme les moules voire encore plus petits, meure l'estomac plein de ce qui ressemble à une savoureuse méduse ou un délicieux plancton !
L'interdiction des sacs plastiques au 1er juilet est une mesure de la loi sur la transition énergétique. Comment vont s'organiser les commercants ? Beaucoup ont pris les devants en proposant les sacs biodégradables en papier ou en amidon de maïs, de pommes de terre ou encore en amidon de manioc. On voit cela sur le marché de Saint-Gilles avec ce reportage de Jean-marc Seguin.