Un professeur de l'institut médico-éducatif Raymond-Allard de Saint-André a été mis en examen pour viol sur mineur de 15 ans vulnérable par personne ayant autorité, avant d'être incarcéré. Depuis deux ans, le prévenu abusait d'une jeune handicapée atteinte d'autisme.
Il n'y a pas de mots pour qualifier les faits dont se serait rendu coupable un professeur de l'institut médico-éducatif Raymond-Allard de Saint-André. Depuis deux ans, ce père de famille, âgé de 50 ans, abusait d'une enfant handicapée qu'il était censé accompagner et aider. La jeune fille, atteinte d'autisme sévère, subissait les assauts sexuels du prévenu.
L'homme a été confondu par ses collègues féminines de l'IME qui ont porté plainte, à son encontre, pour atteinte à leur intimité.
Les inspecteurs en charge du dossier ont examiné son téléphone portable, ses clefs USB et son ordinateur. À l'intérieur, les images et les films ne se limitaient pas à ses seules collègues. Ils ont également découvert les viols, filmés, de l'adolescente handicapée. Des viols répétés qui ont débuté quand elle avait 14 ans. Elle est aujourd'hui âgée de 16 ans.
En garde à vue, l'individu a nié l'évidence. Il a expliqué devant le juge des libertés et de la détention qu'il espérait pouvoir quitter le tribunal pour retrouver sa famille et s'occuper de ses animaux. Il pensait clairement pouvoir bénéficier d'un simple placement sous contrôle judiciaire.
Cette perception de la situation confirme la dangerosité du mis en examen. L'expert-psychiatre qui l'a rencontré pendant la garde à vue parle d'un individu particulièrement dangereux. Le dossier est entre les mains d'un juge d'instruction. Les investigations risquent de durer longtemps. Si les faits présumés se confirment, alors le professeur devra répondre de ses actes devant la cour d'assises.
Ses collègues ont porté plainte pour atteinte à leur intimité
L'homme a été confondu par ses collègues féminines de l'IME qui ont porté plainte, à son encontre, pour atteinte à leur intimité.
Les inspecteurs en charge du dossier ont examiné son téléphone portable, ses clefs USB et son ordinateur. À l'intérieur, les images et les films ne se limitaient pas à ses seules collègues. Ils ont également découvert les viols, filmés, de l'adolescente handicapée. Des viols répétés qui ont débuté quand elle avait 14 ans. Elle est aujourd'hui âgée de 16 ans.
Le professeur répondra de ses crimes devant les assises
En garde à vue, l'individu a nié l'évidence. Il a expliqué devant le juge des libertés et de la détention qu'il espérait pouvoir quitter le tribunal pour retrouver sa famille et s'occuper de ses animaux. Il pensait clairement pouvoir bénéficier d'un simple placement sous contrôle judiciaire.
Cette perception de la situation confirme la dangerosité du mis en examen. L'expert-psychiatre qui l'a rencontré pendant la garde à vue parle d'un individu particulièrement dangereux. Le dossier est entre les mains d'un juge d'instruction. Les investigations risquent de durer longtemps. Si les faits présumés se confirment, alors le professeur devra répondre de ses actes devant la cour d'assises.