Au lendemain de Mardi Gras, les catholiques fêtent le mercredi des Cendres. Un jour de pénitence avant d’entamer une longue période de Carême de 40 jours.Ces cendres sont celles des rameaux desséchées de la Pâques passée qui sont brûlés pour marquer le front des fidèles.
Dans les églises, tout au long de cette journée, les fidèles vont venir prier, faire pénitence et recevoir les cendres. Celles des rameaux calcinés qui vont marquer leur front d'une croix.
Au travers de ce rite, les pénitents sont renvoyés à leur condition éphémère et fragile d’humain.
" Quand on constate qu’il y a des cendres, c’est qu’apparemment il ne reste plus rien de ce que le feu a détruit. C’est l’image de notre pauvreté. Mais les cendres peuvent aussi fertiliser la terre et la vie peut renaître sous les cendres » écrit la publication Eglise catholique en France.
Ce matin au Collège Sainte Geneviève à Saint-André, les élèves ont assisté comme tous les ans à la traditionnelle messe du mercredi des Cendres.
Après l’homélie, ils se sont avancés devant le prêtre qui leur a tracé une petite croix sur le front.
Ils sont maintenant prêts pour le carême et à faire un peu plus de place à Dieu durant 40 prochains jours.
Le reportage de Nadia Tayama et deThierry Chenayer
Au travers de ce rite, les pénitents sont renvoyés à leur condition éphémère et fragile d’humain.
Un symbole de renaissance
" Quand on constate qu’il y a des cendres, c’est qu’apparemment il ne reste plus rien de ce que le feu a détruit. C’est l’image de notre pauvreté. Mais les cendres peuvent aussi fertiliser la terre et la vie peut renaître sous les cendres » écrit la publication Eglise catholique en France.
Ce matin au Collège Sainte Geneviève à Saint-André, les élèves ont assisté comme tous les ans à la traditionnelle messe du mercredi des Cendres.
Après l’homélie, ils se sont avancés devant le prêtre qui leur a tracé une petite croix sur le front.
Ils sont maintenant prêts pour le carême et à faire un peu plus de place à Dieu durant 40 prochains jours.
Le reportage de Nadia Tayama et deThierry Chenayer