Incarcéré pour proxénétisme, un commerçant de Saint-Denis devait à nouveau être jugé ce jeudi 27 septembre. Il est aussi accusé d’avoir délivré des faux-papiers. Son procès est renvoyé au 25 octobre.
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Son procès est finalement renvoyé. Mohamed Rangila, un commerçant de la Rue Maréchal Leclerc à Saint Denis est accusé d’avoir délivré de faux papiers administratifs devait être jugé ce jeudi 27 septembre. Connu de la Justice, il est déjà emprisonné dans une affaire de proxénétisme.
Regardez les précisions de Soufati Toumbou Dany et Daniel Fontaine :
Lors d’une perquisition à son domicile dans le cadre de l’enquête pour proxénétisme aggravé, les enquêteurs ont mis la main sur quatre laissez-passer de l’ONU mentionnant son état civil avec sa photo d’identité. D’où viennent ces documents ? L’accusé reconnaît les avoir fabriqués pour "frimer" avec un complice dont il ne révèle pas l’identité.
Il risque jusqu'à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende. Le procès est renvoyé au 25 octobre pour lui permettre de préparer sa défense. En attendant, Mohamed Rangila restera en détention.
Regardez les précisions de Soufati Toumbou Dany et Daniel Fontaine :
Des laissez-passer de l'ONU
Il devait à nouveau se rendre devant la justice ce matin en comparution immédiate, mais son procès a été renvoyé. Mohamed Rangila est accusé d’avoir aidé à fabriqué et acheté des laissez-passer de l'ONU.Lors d’une perquisition à son domicile dans le cadre de l’enquête pour proxénétisme aggravé, les enquêteurs ont mis la main sur quatre laissez-passer de l’ONU mentionnant son état civil avec sa photo d’identité. D’où viennent ces documents ? L’accusé reconnaît les avoir fabriqués pour "frimer" avec un complice dont il ne révèle pas l’identité.
Il risque jusqu'à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende. Le procès est renvoyé au 25 octobre pour lui permettre de préparer sa défense. En attendant, Mohamed Rangila restera en détention.