Un Saint-Paulois d'une soixantaine d'années est entendu par les gendarmes depuis lundi pour avoir violemment frappé son amie. Sa victime, âgée de plus de 60 ans, porte des traces de coups de la tête, aux pieds.
Les violences faites aux femmes concerne toutes les femmes. À La Réunion, les victimes sont, malheureusement, âgées sans distinction de 18 à 77 ans (sans oublier les viols de mineurs, les incestes...).
Cette triste réalité est parfaitement illustrée par ce fait divers et la garde à vue d'un Saint-Paulois de plus de 60 ans. L'homme a été interpellé, lundi par les gendarmes. Il est suspecté d'avoir passé à tabac son amie par jalousie. C'était le mercredi 30 août 2017 dans son appartement d'une citée située le long de la chaussée Royale.
Roué à coups de barre de fer, de poing, de pied
Pour une raison qui reste très mystérieuse, le gardé à vue fait irruption, chez elle, armé d'une barre de fer. Furieux, il se met cogner sans discernement avec son arme, avec ses mains, ses pieds, avant de tenter de la noyer dans la baignoire de la salle de bain. Baignoire dans laquelle, il prend soin de jeter le portable de sa victime pour qu'elle ne puisse pas appeler à l'aide avant de partir.
Malgré les blessures, la sexagénaire parvient finalement à contacter sa famille au Guillaume. Ce sont ses proches qui alertent les secours. Elle n'a pu porter plainte que lundi, en sortant de l'hôpital précise Clicanoo.
« Marlène Schiappa, Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, en réaction au courrier du 4 septembre 2017, a annoncé le maintien du financement de l’étude (100 000 euros pour 2017 et deux autres tranches pour 2018 et 2019).
Les députés Nouvelle Gauche ultramarins Ericka Bareigts, Serge Letchimy, Josette Manin et Hélène Vainqueur saluent la sanctuarisation du financement de cette étude essentielle ainsi que l’engagement du gouvernement dans la lutte contre les violences conjugales dans les Outre-mer. Ils sont naturellement disposés à travailler avec le gouvernement sur ce sujet qui est une des grandes causes du quinquennat 2017-2022. »
Cette triste réalité est parfaitement illustrée par ce fait divers et la garde à vue d'un Saint-Paulois de plus de 60 ans. L'homme a été interpellé, lundi par les gendarmes. Il est suspecté d'avoir passé à tabac son amie par jalousie. C'était le mercredi 30 août 2017 dans son appartement d'une citée située le long de la chaussée Royale.
Roué à coups de barre de fer, de poing, de pied
Pour une raison qui reste très mystérieuse, le gardé à vue fait irruption, chez elle, armé d'une barre de fer. Furieux, il se met cogner sans discernement avec son arme, avec ses mains, ses pieds, avant de tenter de la noyer dans la baignoire de la salle de bain. Baignoire dans laquelle, il prend soin de jeter le portable de sa victime pour qu'elle ne puisse pas appeler à l'aide avant de partir.
Malgré les blessures, la sexagénaire parvient finalement à contacter sa famille au Guillaume. Ce sont ses proches qui alertent les secours. Elle n'a pu porter plainte que lundi, en sortant de l'hôpital précise Clicanoo.
Enquête sur les violences conjugales, les crédits maintenus
L’étude VIRAGE et sa mise en œuvre en Guadeloupe, Martinique et à La Réunion, les députés ultramarins du groupe Nouvelle Gauche Mme BAREIGTS, M. LETCHIMY, Mme MANIN et Mme VAINQUEUR va se poursuivre annonce les députés ultramarins. Ils avaient alerté la ministre en charge du dossier de leur inquiètude, liée, à l'annonce d'une baisse des crédits. La réponse est tombée rapidement :« Marlène Schiappa, Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, en réaction au courrier du 4 septembre 2017, a annoncé le maintien du financement de l’étude (100 000 euros pour 2017 et deux autres tranches pour 2018 et 2019).
Les députés Nouvelle Gauche ultramarins Ericka Bareigts, Serge Letchimy, Josette Manin et Hélène Vainqueur saluent la sanctuarisation du financement de cette étude essentielle ainsi que l’engagement du gouvernement dans la lutte contre les violences conjugales dans les Outre-mer. Ils sont naturellement disposés à travailler avec le gouvernement sur ce sujet qui est une des grandes causes du quinquennat 2017-2022. »