Un Saint-Louisien de 44 ans a été placé en détention provisoire depuis lundi à Domenjod pour avoir publié deux tweets vantant les actes de terrorisme. Des faits, qui remontent à juin et août 2017.
L'homme de 44 ans, installé à Saint-Louis, est en détention provisoire depuis lundi.
Il a été mis en examen pour apologie publique d'actes de terrorisme.
La justice a retenu deux tweets du suspect. Le premier a été publié en juin et le second en août 2017. Deux écrits publiques incompréhensible de la part d'un homme fiché S.
La justice le surveille comme le lait sur le feu depuis des années.
En 2015, il avait été incarcéré pour participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte de terrorisme nous apprend le site Clicanoo. Il a en effet passé un an en détention avant d'être libéré avec assignation à résidence au domicile de son épouse, une Réunionnaise.
Le fiché S s'apprêtait à quitter l'île
La justice a décidé d'intervenir pour mettre fin aux messages vantant le terrorisme et pour éviter que le Saint-Louisien disparaissent. L'homme avait en effet programmé un départ vers la métropole pour une destination inconnue.
Par ailleurs, le juge des libertés et de la détention a entendu l'argumentaire du parquet concernant les risques de réitérations de faits similaires et l'absence de garantie de représentation si le suspect parvenait à quitter l'île.
Le juge d'instruction a également retenu contre le prévenu les outrages à l'encontre des fonctionnaires du GIGN lors de son interpellation.
Il a été mis en examen pour apologie publique d'actes de terrorisme.
La justice a retenu deux tweets du suspect. Le premier a été publié en juin et le second en août 2017. Deux écrits publiques incompréhensible de la part d'un homme fiché S.
La justice le surveille comme le lait sur le feu depuis des années.
En 2015, il avait été incarcéré pour participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte de terrorisme nous apprend le site Clicanoo. Il a en effet passé un an en détention avant d'être libéré avec assignation à résidence au domicile de son épouse, une Réunionnaise.
Le fiché S s'apprêtait à quitter l'île
La justice a décidé d'intervenir pour mettre fin aux messages vantant le terrorisme et pour éviter que le Saint-Louisien disparaissent. L'homme avait en effet programmé un départ vers la métropole pour une destination inconnue.
Par ailleurs, le juge des libertés et de la détention a entendu l'argumentaire du parquet concernant les risques de réitérations de faits similaires et l'absence de garantie de représentation si le suspect parvenait à quitter l'île.
Le juge d'instruction a également retenu contre le prévenu les outrages à l'encontre des fonctionnaires du GIGN lors de son interpellation.