En tête des meilleures ventes de disques depuis la sortie de son premier album « Cure » en mars dernier, Eddy de Pretto est en train de s’imposer sur la scène française, mais pas uniquement. Tête d’affiche du Sakifo 2018 parmi d’autres grands noms, le chanteur s’est produit ce dimanche 3 juin.
Jeunes et moins jeunes étaient nombreux à avoir fait le déplacement ce dimanche 3 juin pour assister au concert d’Eddy de Pretto pour cette 15ème édition du Sakifo. Né à Créteil dans le Val-de-Marne, le jeune homme de 25 ans a grandi en banlieue parisienne. Un milieu qui n’a pas manqué de lui forger le caractère. De cet univers, il en a tiré une rage de réussir et d’aller au bout de ses rêves.
Son père chauffeur de poids-lourds, sa mère technicienne de laboratoire ont aussi eu une forte influence sur lui. C’est en effet sa maman, passionnée de culture, qui l’inscrit à l’âge de 12 ans à des cours de théâtre, de chant et de piano. Il poursuivra ensuite une formation à l’Institut Supérieur des Arts de la Scène. Une maman d’origine réunionnaise, qui a grandi jusqu’à ses 11 ans dans l’ile. C’est donc ravi qu’Eddy de Pretto participe à ce 15ème Sakifo Musik Festival. Il le confie dans cette interview réalisée par Marie Redortier.
Jeune, Eddy de Pretto joue dans des publicités télévisées, puis dans des courts métrages, et fait une apparition dans un long métrage en 2013. La bascule vers la musique se fait dans un second temps. C’est vers 19ans, que le jeune homme commence à écrire ses propres chansons. Viendront ensuite les scènes avec le Printemps de Bourges notamment.
Le 2 mars dernier, Eddy de Pretto sort son tout premier album, quelques titres ont déjà commencé à circuler. Parmi ses titres phares, « Normal », qui aborde les stéréotypes sur l’identité sexuelle ou encore l’homophobie. Pas militant, il ne cache pour autant son homosexualité, mais ne veut pas faire figure de porte-drapeau. Dans ses chansons, le jeune homme s’attache avant tout à raconter sa vie, sa réalité et sa recherche autour des notions de masculinité et d’hyper-virilité.
L’artiste ne passe en tout cas pas inaperçu. Lui se définit comme un enfant typique des années 2000 qui écoutait beaucoup de musique urbaines. Son style, entre hip-hop et variété française, ne passe lui non plus pas inaperçu.
Son père chauffeur de poids-lourds, sa mère technicienne de laboratoire ont aussi eu une forte influence sur lui. C’est en effet sa maman, passionnée de culture, qui l’inscrit à l’âge de 12 ans à des cours de théâtre, de chant et de piano. Il poursuivra ensuite une formation à l’Institut Supérieur des Arts de la Scène. Une maman d’origine réunionnaise, qui a grandi jusqu’à ses 11 ans dans l’ile. C’est donc ravi qu’Eddy de Pretto participe à ce 15ème Sakifo Musik Festival. Il le confie dans cette interview réalisée par Marie Redortier.
Jeune, Eddy de Pretto joue dans des publicités télévisées, puis dans des courts métrages, et fait une apparition dans un long métrage en 2013. La bascule vers la musique se fait dans un second temps. C’est vers 19ans, que le jeune homme commence à écrire ses propres chansons. Viendront ensuite les scènes avec le Printemps de Bourges notamment.
Le 2 mars dernier, Eddy de Pretto sort son tout premier album, quelques titres ont déjà commencé à circuler. Parmi ses titres phares, « Normal », qui aborde les stéréotypes sur l’identité sexuelle ou encore l’homophobie. Pas militant, il ne cache pour autant son homosexualité, mais ne veut pas faire figure de porte-drapeau. Dans ses chansons, le jeune homme s’attache avant tout à raconter sa vie, sa réalité et sa recherche autour des notions de masculinité et d’hyper-virilité.
L’artiste ne passe en tout cas pas inaperçu. Lui se définit comme un enfant typique des années 2000 qui écoutait beaucoup de musique urbaines. Son style, entre hip-hop et variété française, ne passe lui non plus pas inaperçu.