L'établissement est devenu un chantier avec des trous responsables de la blessure d'une élève. Des relations dégradées avec la direction du lycée ont provoqué le débrayage, lundi quelques minutes, d'une partie des enseignants de Vue-Belle à La Saline.
La rentrée n'est pas un long fleuve tranquille au Lycée de Vue-Belle à La Saline. Selon le syndicat FO, l'établissement qui accueille 1000 élèves est à la dérive.
Les travaux entrepris dans la cour de l'établissement pendant les vacances scolaires n'ont pu être terminés en temps et en heure. Conséquence, la semaine dernière une élève s'est blessée en tombant dans l'un des nombreux trous béants de la cour de récréation.
Un incident qui a mis le feu aux poudres. Le lundi 11 septembre 2017 en matinée, une partie du personnel a dbrayé une dizaine de minutes pour protester contre les conditions de travail, d'accueil des élèves et les relations très tendues avec la direction de l'établissement.
Une enquête du rectorat
Dans le document recueilli par Hubert Debeux de Réunion 1ère radio, les responsables syndicaux dénoncent également l'attitude du proviseur et de ses adjoints qui ont tenté de mettre la pression sur les grévistes. Les responsables de l'établissement ont noté scrupuleusement le nom de chacun des manifestants afin qu'une journée soit retenue sur leurs salaires. Une mesure injustifiée selon FO, les grévistes ayant repris leur travail après dix minutes.
En conclusion, les responsables syndicaux demandent l'ouverture d'une enquête du Rectorat.
La réunion en urgence de la Commission d'hygiène et de sécurité concernant le chantier et l'avis des syndicats de parents d'élèves sur les conditions de travail de leurs enfants.
Les travaux entrepris dans la cour de l'établissement pendant les vacances scolaires n'ont pu être terminés en temps et en heure. Conséquence, la semaine dernière une élève s'est blessée en tombant dans l'un des nombreux trous béants de la cour de récréation.
Un incident qui a mis le feu aux poudres. Le lundi 11 septembre 2017 en matinée, une partie du personnel a dbrayé une dizaine de minutes pour protester contre les conditions de travail, d'accueil des élèves et les relations très tendues avec la direction de l'établissement.
Une enquête du rectorat
Dans le document recueilli par Hubert Debeux de Réunion 1ère radio, les responsables syndicaux dénoncent également l'attitude du proviseur et de ses adjoints qui ont tenté de mettre la pression sur les grévistes. Les responsables de l'établissement ont noté scrupuleusement le nom de chacun des manifestants afin qu'une journée soit retenue sur leurs salaires. Une mesure injustifiée selon FO, les grévistes ayant repris leur travail après dix minutes.
En conclusion, les responsables syndicaux demandent l'ouverture d'une enquête du Rectorat.
La réunion en urgence de la Commission d'hygiène et de sécurité concernant le chantier et l'avis des syndicats de parents d'élèves sur les conditions de travail de leurs enfants.