Les dirigeants de Madagascar, des Comores, de Maurice et de la Réunion étaient réunis aux Seychelles pour partager leur vision sur la migration, le changement climatique, la sécurité et la traite des humains. Des thèmes sensibles avec des approches différentes selon les pays.
Pendant trois jours à l'invitation de la Commission de l'Océan Indien (COI) et l'Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), les dirigeants des pays de la zone ont pu échanger concernant cette vaste question et ces différents aspects.
L'archipel des Seychelles est l'un des rares, et peut être le seul pays au monde, à ne pas demander de visas. L'exemption est la règle. 21 000 travailleurs étrangers travaillent sur son sol actuellement. L'essentiel de cette main d'œuvre est employé dans le BTP, le tourisme et la pêche.
Pour l'archipel comme pour l'île Maurice, le recours à des migrants est une évidence explique Charles Kwenin, directeur régional de l'OIM : "dans ces deux pays, la population vieillit. Les revenus et l'espérance de vie augmentent. Ils doivent faire appel à des ouvriers extérieurs" écrit Seychelles News Agency. Reste que des affaires de traites d'humains se multiplient aux Seychelles, à Maurice comme à Madagascar. Des personnes isolées sont vendues comme esclave par des réseaux sans scrupules à des "entrepreneurs" véreux.
Le réchauffement climatique est également indissociable de la problématique migratoire. Le manque d'eau, la montée des océans préoccupent l'ensemble des intervenants. La menace se précise et cette réalité doit être anticipée.
Le secrétaire Principal pour l’Immigration et l’Etat Civil des Seychelles, Alain Volcere, a tenu à apporter la vision de son pays sur cette question migratoire : "Le forum nous permet d’exprimer et d’échanger des idées et d’explorer les opportunités en ce qui concerne les défis à relever. Il faut mettre davantage l'accent sur la façon de maximiser les avantages de la migration au lieu de la considérer uniquement comme une chose négative, qu'il convient de minimiser".
L'archipel des Seychelles est l'un des rares, et peut être le seul pays au monde, à ne pas demander de visas. L'exemption est la règle. 21 000 travailleurs étrangers travaillent sur son sol actuellement. L'essentiel de cette main d'œuvre est employé dans le BTP, le tourisme et la pêche.
Les Seychelles et Maurice ont besoin de main d'œuvre
Pour l'archipel comme pour l'île Maurice, le recours à des migrants est une évidence explique Charles Kwenin, directeur régional de l'OIM : "dans ces deux pays, la population vieillit. Les revenus et l'espérance de vie augmentent. Ils doivent faire appel à des ouvriers extérieurs" écrit Seychelles News Agency. Reste que des affaires de traites d'humains se multiplient aux Seychelles, à Maurice comme à Madagascar. Des personnes isolées sont vendues comme esclave par des réseaux sans scrupules à des "entrepreneurs" véreux.
La migration et le réchauffement climatique sont liés
Le réchauffement climatique est également indissociable de la problématique migratoire. Le manque d'eau, la montée des océans préoccupent l'ensemble des intervenants. La menace se précise et cette réalité doit être anticipée.
Le secrétaire Principal pour l’Immigration et l’Etat Civil des Seychelles, Alain Volcere, a tenu à apporter la vision de son pays sur cette question migratoire : "Le forum nous permet d’exprimer et d’échanger des idées et d’explorer les opportunités en ce qui concerne les défis à relever. Il faut mettre davantage l'accent sur la façon de maximiser les avantages de la migration au lieu de la considérer uniquement comme une chose négative, qu'il convient de minimiser".
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