Colère d'une 50 aine d'habitants de Carosse dans les rues de St-Gilles ce jeudi. Ils ont défilé pour protester contre le projet de mettre la rue du Général de Gaulle en sens unique...DU NORD AU SUD... Ce qui les obligerait à faire un grand détour pour se rendre en ville...
4 jours après le Grand Boucan, il y avait encore du monde dans les rues de St-Gilles ce jeudi 23 juin ! Sans char mais avec des banderolles et des cris de colère... Il s'agissait de riverains habitant le quartier Carosse.
Ils sont contre le projet de sens unique de la rue général de Gaulle, en plein coeur de St Gilles. Les habitants craignent d'en être pénalisés. Pour eux le quartier va souffrir d'isolement et les accès, avec un nouveau rond point, seront rendus très difficiles. Alors qu'ils arrivent aujourd'hui directement au centre villle ils seront peut etre bientôt obligés de faire un grand détour si le projet se concrétise.
Un petit bazar doit aussi disparaitre au profit de la construction d'un immeuble. Les riverains parlent d'une décision sans consultation qui va modifier leurs habitudes quotidiennes. Ils ont scandé "Touche pas nout centre ville".
Du côté de la mairie on affirme que rien n'a encore été décidé et qu'il n'y a pas eu d'enquete publique. En somme pas de quoi s'émouvoir... Pour l'instant !
Le reportage de Jean-Marc Seguin.
Ils sont contre le projet de sens unique de la rue général de Gaulle, en plein coeur de St Gilles. Les habitants craignent d'en être pénalisés. Pour eux le quartier va souffrir d'isolement et les accès, avec un nouveau rond point, seront rendus très difficiles. Alors qu'ils arrivent aujourd'hui directement au centre villle ils seront peut etre bientôt obligés de faire un grand détour si le projet se concrétise.
Un petit bazar doit aussi disparaitre au profit de la construction d'un immeuble. Les riverains parlent d'une décision sans consultation qui va modifier leurs habitudes quotidiennes. Ils ont scandé "Touche pas nout centre ville".
Du côté de la mairie on affirme que rien n'a encore été décidé et qu'il n'y a pas eu d'enquete publique. En somme pas de quoi s'émouvoir... Pour l'instant !
Le reportage de Jean-Marc Seguin.