Un courrier du président de la Fédération Française de Tennis de Table crée la polémique. La Ligue Réunionnaise se voit en retirer sa délégation et de fait le bureau local devra être réélu avant la mi-août.
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Rien ne va plus à la Ligue Réunionnaise de Tennis de Table. La Fédération Française vient en effet de lui retirer sa délégation. 400 licenciés sont ainsi concernés. Un désaveu qui fait suite à « de graves manquements dans la gestion administrative, sportive et financière » résume un courrier du président de la Fédération Française de Tennis de Table, Christian Palierne.
En 2017, la Ligue Réunionnaise n’aurait organisé aucune assemblée, ni reversé l’argent des licences à la Fédération. Ses comptes seraient mêmes dans le rouge, puisque selon nos informations, aucune demande de subventions n’aurait été déposée auprès de la Commission nationale du développement sportif pour l’année en cours.
Alertés par les clubs, et ne trouvant aucune réponse à ses nombreuses relances, le Conseil fédéral a fini par trancher dans le vif. Dans un courrier en date du 23 mai, il retire toutes ses attributions à Harry Razafinarivo, à la présidence de la ligue depuis 2016.
Le bureau local poussé vers la sortie
C’est Jean-Marc Jacques, ancien président de la ligue, qui est chargé d’organiser l’élection du
nouveau dirigeant. Une élection qui doit se tenir avant la mi-août. Pour l’instant, aucune tête de liste ne s’est fait connaitre, l’heure est plutôt au grand déballage entre les différentes parties.
Dans la tourmente, Nelson Fontaine, le vice-président de la ligue, est épinglé par quatre clubs frondeurs : le Tampon, le CDTT, Saint-Pierre et les Aiglons d’Orients. Il est accusé de gabegie et de favoritisme, à l’endroit de son club, Le Case Cressonnière. Nelson Fontaine, a déjà fait savoir qu’il portera plainte pour diffamation.
En 2017, la Ligue Réunionnaise n’aurait organisé aucune assemblée, ni reversé l’argent des licences à la Fédération. Ses comptes seraient mêmes dans le rouge, puisque selon nos informations, aucune demande de subventions n’aurait été déposée auprès de la Commission nationale du développement sportif pour l’année en cours.
Alertés par les clubs, et ne trouvant aucune réponse à ses nombreuses relances, le Conseil fédéral a fini par trancher dans le vif. Dans un courrier en date du 23 mai, il retire toutes ses attributions à Harry Razafinarivo, à la présidence de la ligue depuis 2016.
Le bureau local poussé vers la sortie
C’est Jean-Marc Jacques, ancien président de la ligue, qui est chargé d’organiser l’élection du
nouveau dirigeant. Une élection qui doit se tenir avant la mi-août. Pour l’instant, aucune tête de liste ne s’est fait connaitre, l’heure est plutôt au grand déballage entre les différentes parties.
Dans la tourmente, Nelson Fontaine, le vice-président de la ligue, est épinglé par quatre clubs frondeurs : le Tampon, le CDTT, Saint-Pierre et les Aiglons d’Orients. Il est accusé de gabegie et de favoritisme, à l’endroit de son club, Le Case Cressonnière. Nelson Fontaine, a déjà fait savoir qu’il portera plainte pour diffamation.